Libertins et bisexuels

Mon mari et moi sommes libertins. Et ça dure depuis plus de dix ans. En fait, nous avons commencé autour de nos vingt-cinq ans, dans l’espoir d’un plan à trois avec une nana, car je suis un peu bisexuelle. Et nous y avons pris goût.

Je sais bien que ça ne parle pas aux personnes fidèles en couple, mais nous sommes plutôt de la catégorie des libertins softs. Nous faisons des plans à trois et à quatre, c’est vrai, mais nous n’allons pas plus loin  : pas d’orgies incroyables, pas de trucs complètement délirants.

Un jour, un couple d’amis – ils le sont devenus par la suite, en fait, c’était notre premier rencart – nous a donné rendez-vous dans un coin à voyeurs de la région. Sur place, nous avons coquiné dans leur grande voiture alors que, derrière la vitre, se bousculaient les paysans (libertins ?) du coin qui voulaient être aux premières loges pour assister à notre partouze.


J’ai adoré  ! Le fait de me sentir observée pendant que le mec d’une autre me suçait les seins, pendant que je partouzais joyeusement avec mon mari et un autre couple, ça m’a littéralement transportée. Malgré l’inconfort du sexe à quatre dans une voiture, je mouillais comme une petite folle  !

Alors, naturellement, j’ai voulu réessayé. Mon mari, lui aussi, était partant  ! Malheureusement, ce vendredi après-midi là, l’autre couple n’était pas disponible, et nos autres connaissances libertines ne voulaient pas essayer le trip exhibitionniste.

N’écoutant que notre courage – ou plutôt notre libido – nous sommes donc partis tous les deux dans le coin à voyeurs. Une fois sur place, Alexandre a coupé le moteur. Il y avait là quatre ou cinq autres véhicules. Très vite, je me suis retrouvée seins nus, avec la bouche de mon mari qui me faisait pointer les tétons. L’atmosphère était à la limite du glauque, mais j’étais très excitée.

Les voyeurs ont commencé à se mettre en place. Hélas, notre voiture n’était pas aussi spacieuse que celle de nos amis de sexe et nous ne pouvions pas nous ébattre comme nous l’aurions voulu. Mon mari a sorti sa pine, et je l’ai sucé, là, devant tous ces mecs inconnus. L’un d’eux a tapé à la vitre. Il semblait vouloir nous dire quelque chose.

Libertins en goguette

Nous nous sommes lancés et avons décidé d’ouvrir les portières, trop heureux d’avoir un peu plus d’espace. J’ai continué à pomper mon homme, tandis que des mains, de l’autre côté, se baladaient sur mes fesses. Le type qui avait frappé à la vitre me pelotait les seins. Tout ce beau monde se branlait sans pudeur devant nous. Toutes ces bites m’excitaient.

Puis, la main du voyeur est descendue de ma poitrine aux couilles de mon mari. Ce dernier a eu un mouvement de recul. Il n’est pas homophobe, non, mais cela l’a surpris. Le voyeur m’a complimenté sur mes seins, et a fait de même sur la bite de mon chéri.

Il est allé jusqu’à demander  : «  je peux le goûter  ? ». Je n’en croyais pas mes oreilles. D’autant moins qu’il a joint le geste à la parole, et m’a remplacé sur la queue raide de mon homme. Lui ne disait rien, il se laissait faire. J’ai regardé le sexe de cet homme inconnu. Il était plus petit que celui de mon chéri, mais très large, très raide. J’ai tendu la main, et je l’ai branlé pendant qu’il suçait Alexandre.

Mon mari suce un mec en extérieur

Puis je me suis penchée vers l’oreille de ma moitié et lui ai demandé  : «  ça te plairait de le sucer  ? J’adorerais te voir faire une pipe à un homme…  ». Alexandre est toujours partant quand il s’agit de me faire plaisir, sexuellement parlant. Mais là, il a eu plus qu’une hésitation. Et puis il a regardé le vit de l’inconnu, qui coulissait entre mes doigts. Elle était belle, sa pine, bien plus que son propriétaire.

Dans un lent mouvement, Alexandre s’est tendu vers l’engin et, après un temps de suspens, l’a finalement pris en bouche. Le gars, trop heureux d’être ainsi turluté, est reparti vers mes seins et je suis parvenue à force de contorsions à reprendre le sexe de mon mari en bouche.

Le tableau que nous formions devait être assez incroyable  ! Moi, j’étais dans un état d’excitation ultime. Le mec qui s’ingéniait à me caresser le clitoris, par derrière, a du s’en rendre compte très vite. J’avais toujours rêvé de voir deux hommes se sucer l’un l’autre et là, c’était mon mari qui creusait les joues sur une bite.

Et oui, messieurs, vous qui vous précipitez sur les films de lesbiennes, sachez que certaines femmes, elles aussi, aiment voir deux hommes se faire quelques mamours libertins  !

Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !

Paysan pervers pour couple exhib

A l’époque, j’étais en couple avec une meuf qui répondait au doux prénom de Natacha ! Ah, Natacha ! Jolie comme un cœur, gentille et douce ! Et surtout, salope comme on ne peut pas l’imaginer !

C’est bien simple, avec elle, il y avait toujours une nouvelle idée ! Un plan cul dont vous n’auriez osé rêver si elle ne vous l’avait pas proposé. Dans la vie quotidienne, elle avait l’air sage, mais quand il s’agissait de sexe, quelle libertine c’était ! Son imagination érotique était sans bornes, et, surtout, elle ne se refusait rien.

Un week-end, elle m’a parlé d’une clairière, pas très loin d’un parking sauvage, où elle avait entendu dire que des couples exhibitionnistes venaient baiser devant des voyeurs. Bien entendu, elle voulait s’y rendre. On programma le plan pour le samedi suivant : la météo s’annonçait bonne.

La météo, oui, mais pas les règles de ma Natacha, qui tombèrent pile poil ce jour-là. Sauf que la coquine avait tout prévu. Elle avait acheté en ligne des tampons spécial sexe, des trucs qui vous permettent de baiser même quand vous êtes indisposée.

Du coup, on a filé vers la fameuse clairière. Sur place, personne. Natacha était déçue, moi plutôt soulagé. Je pouvais la baiser sans la gêne de quelques voyeurs. Et c’est ce que j’ai fait. Elle s’est appuyée sur le capot de la bagnole, je l’ai troussée et pan ! Dans le minou. Au passage, je tiens à vous dire que son gadget anti-ragnagna était très au point. Comme si de rien n’était…

C’était trop beau. J’étais en train de besogner ma copine tout en matant son joli popotin quand un vieux gars tout moisi a débarqué, la bite à la main. Il s’est approché de nous. Il faisait des commentaires paillards pendant que je tronchais Natacha et qu’il branlait sa demi-molle.

Tripoté par le paysan pervers !

J’ai essayé de continuer, comme s’il n’était pas là, mais il était tellement proche que sa présence me gênait vraiment ! Alors, forcément, quand il a commencé à vouloir peloter le joli cul de ma libertine, ça m’a gonflé. J’ai repoussé sa main, en lui disant de rester à sa place.

Natacha s’est retournée et m’a dit : « mais non, chéri, laisse faire monsieur, il a bien droit à un petit plaisir ». Elle a retiré son t-shirt, dévoilant sa poitrine nue, généreuse, magnifique. Elle a tendu un nichon au papy qui s’est mis à lui téter. Le paysan grognait, Natacha était aux anges. L’air de rien, cette salope m’avait fait rebander, avec ses idées cochonnes.

Natacha s’est assise au milieu du sentier et s’est mise à nous sucer tous les deux. Le paysan faisait de plus en plus de commentaires graveleux, mais ça semblait plaire à la coquine. Elle suçait tant et si bien que, non seulement elle m’a rendue une gaule plus qu’honorable, mais le papy aussi s’est mis à bander raide.

On a changé de position. Moi par terre, à la tringler en levrette, elle qui pompait le dard du vieux, debout devant elle. Je voyais tout ce qu’elle lui faisait, comment elle creusait les joues, comment elle faisait coulisser la petite bite entre ses lèvres, comment elle lui suçait les burnes.

Et plus elle était vicieuse, plus je la tringlais comme un forcené. Et plus je la tronchais, plus elle devenait perverse. Le cercle vicieux, c’est le cas de le dire.

Là, le paysan s’est mis à grogner de plus en plus fort. Puis a gueulé comme un dingue « salope ! salope ! petite pute ! ». Il a déchargé à gros jets sur le visage d’ange de Natacha, jusque dans ses cheveux. Elle s’est retournée vers moi, la face pleine de foutre et m’a souri. J’étais estomaqué.

Mais le papy n’en avait pas fini. Il s’est essuyé la pine et a recommencé à se branler. Il s’est placé à côté de moi pour voir en gros plan la pénétration : « elle est bonne ta salope, tu l’encules, des fois ? ». Je me cherchais une contenance, mais le type n’arrêtait pas. A un moment, alors que ma queue ressortait de la chatte dégoulinante de mouille de Natacha, il a carrément pris mon sexe dans sa main, et l’a dirigé vers la rondelle de ma libertine. Elle, elle s’est contentée d’écarter les fesses et je me suis introduit dans l’anus de la belle.

Sans réfléchir, je lui ai déglingué le cul, jusqu’à gicler à mon tour dans son dos, jusqu’à ses cheveux, qui étaient maintenant trempés de sperme.

L’exhibitionnisme, c’est risqué !

Mon copain et moi sommes exhibitionnistes. Nous pratiquons notre vice -l’exhibitionnisme, donc- dans une forêt, pas très loin de chez nous, où se retrouvent les couples comme nous et les voyeurs, en général des paysans du coin, de 20 ans à 60 ans passés. C’est dans la clairière de cette forêt que tout se joue. Certains couples se livrent à la partouze entre eux, d’autres laissent les voyeurs participer.

Pas nous. Nous sommes juste exhibes, et nous nous contentons de baiser devant ces messieurs, qui, en général, se branlent en nous regardant nous envoyer en l’air. Pour l’occasion, je mets souvent une tenue sexy, genre libertine, achetée sur le net.

Ce jour-là, la clairière était déserte. Pas un couple, pas un voyeur, pour troubler la tranquillité sereine de cette forêt où personne, mis à part les coquins de tout poil, ne passe jamais. Pas grave ! Nous avons trop envie de baiser. Très vite, je me retrouve topless, et mon chéri me suce les tétons, une caresse que j’adore.

Puis, c’est le bas qui tombe. Il s’agenouille dans les feuilles mortes et commence à me lécher le clito. J’adore ça ! Je suis déjà très chaude. Mon mec se redresse : à mon tour de lui faire du bien. Son pantalon et son caleçon tombent sur ses chevilles, il est déjà bien dur. Je prends sa belle queue entre mes lèvres, je creuse les joues, je mouille son gland de ma salive tout en jouant de la langue sur son frein.

De fil en aiguille, nous voici entièrement nus : il me nique en levrette. J’aime sentir sa queue bien au fond de moi. Il a beau me claquer les fesses pour faire un peu de bruit, pas un voyeur à l’horizon. Dommage… mais surtout tant pis pour eux : nous sommes particulièrement en forme aujourd’hui, le spectacle vaut le coup d’œil !

Maintenant, il s’allonge dans les feuilles mortes et je viens m’empaler sur lui. Il caresse mes seins pendant que je tortille du cul et des hanches pour lui procurer un maximum de plaisir, ainsi qu’à moi. Je m’entends couiner un peu. Si un gars passe dans les parages, il va m’entendre, c’est sûr.

Nouveau changement de position : je m’appuie contre un arbre, debout, et il me ramone en levrette. Ah, j’entends du bruit dans le chemin qui conduit jusqu’ici. J’encourage les voyeurs à nous rendre visite : « oui, baise-moi chéri, c’est trop bon ! » que je gueule comme une possédée.

Les pas se rapprochent et, d’un coup, me cœur se soulève en attendant une voix, avec un fort accent, s’adresser à nous : «  madame, monsieur, l’article 222 alinéa 32 du Code Pénal réprime l’exhibition sexuelle. Je me vois dans l’obligation de vous arrêter ». Un court instant, je crois à une blague. Je me retourne : un gendarme nous fait fasse.

Je me dégage de l’étreinte de mon copain et me précipite sur mes fringues. J’arrive à prendre mon haut et à en recouvrir mes seins et ma chatte, tant bien que mal. « Monsieur l’Agent, je vais vous expliquer, ce n’est pas dans nos habitudes, c’est juste que… ». Il ne me laisse pas finir ma phrase : « allons, mademoiselle, je sais bien ce que c’est que la jeunesse, j’ai une fille de votre âge. Vous serez quittes pour une bonne frayeur et une amende ».

Je suis morte de honte. Le pire, c’est que nous n’avons pas un rond pour payer une amende. Et si ça se savait, en plus ? Je lève tomber mon haut au sol, dévoilant à la vue du militaire mes petits seins et ma chatte rasée et encore humide. Je m’approche de lui. Mon mec ne dit rien, n’esquisse pas un geste pour me retenir.

C’est le gendarme qui me coupe dans mon élan. « N’aggravez pas votre cas, mademoiselle, la corruption de fonctionnaire, alliée à l’exhibitionnisme, ça coûte cher ». J’hésite encore un peu. Le flic a le regard perdu. Je m’approche encore un peu, me colle contre lui. Il essaie de bredouiller quelque chose. Peine perdue. J’ai défait son ceinturon, il a la bite à l’air. Il est raide comme la justice. Je commence à le branler, en défaisant, de l’autre main, sa chemise. Je colle mes petits seins pointus à sa peau.

Ça n’est pas suffisant, il semble prêt à se rebeller. Alors je me penche et je prends son gourdin dans ma bouche. Une bite très grosse. Pas très longue, mais épaisse. Mon copain ne dit toujours rien, il reste là, à poil, passif.

Je m’applique à bien sucer le gendarme. S’il gicle, c’est gagné, il repartira la queue entre les jambes, si j’ose dire. Je fais montre de tout mon art de la turlutte. Le vieux grogne son plaisir. Dans moins de trois minutes, il va éjaculer au fond de ma gorge, c’est certain.

Il faudra juste que je change de mec, et m’en trouver un plus courageux que celui-ci qui regarde, béat, sa meuf en train de pomper la bite d’un vieux gendarme.

Baise particulière un soir de féria…

C’était un peu comme dans la chanson. Il était mince, il était beau… Encore aujourd’hui, dix ans après, le souvenir de notre étreinte, de cette baise particulière me réveille parfois la nuit. C’était en plein été, à Béziers, la feria battait son plein. J’étais en instance de divorce et ma meilleure amie m’avait proposé de descendre dans le sud pour me changer les idées.

Sangria après sangria, bodega après bodega, nous déambulions toutes les deux dans les rues biterroises, draguées ici ou là par des hommes de nos âges, la quarantaine, ou même la cinquantaine.

Et puis, je l’ai remarqué : très grand, très fin, de longs cheveux bruns, partout où nous allions, il n’était pas bien loin. Je n’ai jamais eu l’âme d’une couguar, mais là, c’était moi, la proie. Ou peut-être mon amie.

Car, pas de doute, le jeune homme nous suivait. A y regarder de plus près, c’était même sans doute moi, sa cible. Il me dévorait littéralement des yeux. Peu habituée à ce genre de comportements de la part d’un si jeune homme – il devait avoir 20 ans – je finissais même par être gênée par son attitude, et je cachais mon décolleté.

Séduite et… branlée ! C’est de la baise ?

Vers 3 heures du matin, il m’a abordée. Sans me demander mon avis, il s’est mis à danser avec moi, m’entraînant sur la piste de la bodega comme si nous nous connaissions depuis toujours. Quand il a pris ma main, j’ai remarqué immédiatement la douceur de sa peau.

Nous avons dansé tant et si bien que j’ai fini par perdre mon amie de vue. Le jeune homme m’a entraînée dans une ruelle, sous un porche. Là, il m’a embrassée fougueusement. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire, je me suis retrouvée avec un sein dehors. Ou plus exactement, dans sa bouche.

Il a glissé sa main sous ma jupe. Il a du sentir la moiteur de mes cuisses, faite de transpiration et d’excitation. Contournant le tissu de ma culotte, il s’est littéralement emparé de mon clitoris et s’est mis à le branler.

Je n’avais rien demandé, rien sollicité. Je me laissais tout simplement faire, une baise manuelle terriblement excitante, et j’aimais ça. Quand l’orgasme s’est emparé de mon bassin, il a de nouveau posé ses lèvres sur les miennes. J’ai joui en mêlant ma langue à la sienne et seul notre baiser m’a empêché d’ameuter la foule qui dansait et chantait à seulement quelques mètres de nous.

Puis, j’ai repris mes esprits. Enfin, pas vraiment. Sans y réfléchir, je me suis baissée. J’ai ouvert le zip du jeune homme, pour en faire jaillir un membre fin et long, très doux, que j’ai pris en bouche.

Je l’ai sucé, passant ma langue sur son frein, sur sa hampe, jusqu’à ce qu’il se répande au fond de ma gorge. Ses jambes flageolaient, j’ai du le retenir pour qu’il ne tombe pas. Nous avons échangé un dernier baiser et je me suis enfuie dans les rues de Béziers à la recherche de mon amie.

C’est la première fois que je raconte cette aventure et, rien qu’à y repenser, je sens un fourmillement entre mes cuisses. La baise à Béziers, un soir de féria, on dirait une blague…






Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.