Première double péné dans un train

Tous les matins à 5 heures, Hélène fait sa toilette, s’habille et courre prendre le train pour quelques deux heures de route. C’est son boulot qui le lui impose, il se trouve à des kilomètres de son appartement alors, il faut faire avec.
La belle brunette est âgée de 31 ans, elle a des formes pulpeuses, un style assez négligé mais sexy. Ses cheveux aux vents et ses yeux bleus lui confèrent un certains charme mais cependant, elle n’a toujours pas de mec pour satisfaire sa forte libido. N’ayant jamais le temps de se taper une petite branlette matinale chez elle, elle préfère le faire dans le train.

Tu veux baiser une jeune salope ?

C’est devenu une bien fâcheuse habitude et, elle savait qu’un jour, elle payerait chère pour ce rituel.
Un mardi matin alors qu’il y a juste quelques passagers dans le train qu’elle a emprunté, le jour n’étant pas encore totalement levé, Hélène va quitter sa place pour un moment et se planquer dans les toilettes pour se palucher comme à son habitude.

Ce matin là, alors qu’elle était assise sur le siège du WC à se toucher les parties intimes, deux mecs passaient par là et on entendu ses gémissements qu’elle étouffait pourtant.
Ils se sont invités et, heureusement pour eux qu’elle avait oublié de fermer la porte des toilettes à clé.
Cloitrée dans son box, à moitié nue, elle entend les pas des deux queutards qui vont ouvrir la seconde porte des Wcs et y entrer brusquement.

Elle est prise sur le fait accompli, telle une voleuse. D’un air coupable, Hélène jette un regard au premier, puis, se lève pour se rhabiller.
Ce dernier s’oppose en l’empêchant de remonter son string. Pendant ce temps, l’autre coquin introduit ses mains sous son t-shirt leger pour peloter ses nichons.
Au lieu de se défendre, la jolie brunette se laisse faire, elle pense plutôt aux trois mois qu’elle a passé sans se faire ramoner la chatte.

Il vaut mieux prendre son pied avec ces lascars en se laissant faire, au lieu de rendre la chose déplaisante en se défendant.
Le premier, un jeune blond qui mesure environ 1m90, avec des biceps de soldat, sort son phallus de sa braguette et demande autoritairement à Hélène de le bouffer.

S’apprêtant à se mettre à genoux pour s’exécuter, elle aperçoit le second, un peu plus petit mais plus mignon, qui sort aussi sa bistouquette pour demander une branlette. Elle s’est crue dans un film de cul mais, au fond, elle en avait toujours rêvé.

C’est parti pour une double péné…

La façon dont les vicieux la traitaient la rendaient encore moins réticente. Ils étaient courtois et sympas, lui faisient quelques blagues coquines pendant qu’elles s’occupaient de leurs saucisses.

Le premier lui suggèra d’essayer de bouffer les deux pénis en même temps. Il demanda si bien qu’elle s’amusait au final. Quelle cochonne ! Bien que les queues soient trop grosses, elle parvint tout de même, après quelques tentatives échouées.
Place maintenant au moment tant attendu : la pénétration.

Le premier : tu préfères qu’on te prenne en double pénétration ?
Hélène : Oui, s’il vous plaît !
Le second : Bah, comme c’est si bien demandée, on va bien te chauffer en double, mademoiselle !

Ils étaient assez costauds pour la soulever alors, ils ne s’en privèrent pas. Le premier la prit par devant et le second choisit la tendresse de ses fesses. Oui une double péné. Elle déteste la sodomie alors, ils se concentrèrent uniquement sur sa chatte.
Après une dizaine de minutes d’étreintes, mademoiselle eu droit à sa seconde douche matinale : deux couilles bien pleines qui se vidèrent sur son visage et sur ses beaux tétons, rien de plus génial.
Le trio se sépara sur les lieux du crime et, la salope courra honteusement s’asseoir à sa place, toute satisfaite et prête à affronter la journée après une bonne double péné…

Auto-stoppeuse et allumeuse

Brenda, l’auto-stoppeuse, est une étudiante de 20 ans. Elle a décidé de faire l’auto-stop pour se rendre à l’université car, elle en avait marre de prendre le métro. Pour mettre toutes les chances de son côté, elle s’est habillée de façon très attirante, aucun automobiliste ne pouvait lui résister.
C’est l’automne, les tenues légères sont de mise. Elle a donc arboré une minijupe noire, une chemise prêt du corps qui dessinait sa poitrine de taille 95B, et une petite veste pour courroner le tout. Brunette en lunettes, elle était si ravissante qu’à peine sur le trottoire, ça lui a pris tout juste quelques secondes pour trouver son humble chevalier.
C’est le genre de créature qui ne passe pas inaperçue. À la fois fragile et rebelle, elle dégage un charme et un manque de sérénité qui trahissent son jeune âge. Avec ses 1m63, ses formes légèrement pulpeuses, elle paraît plutôt accessible. Normal que ces chauffards se précipitent pour lui proposer de l’aide !

Toi aussi tu veux baiser une belle petite chienne ?

Parmi tous ces gentlemen, la parisienne a choisi un mec de 36 ans, conduisant une superbe citadine de couleur rouge. Il faut dire qu’un homme séduisant aux commandes d’une jolie bagnole, qui a une bague au doigt, ça fait plutôt crédible.
Thierry est marié, bien sûr, mais c’est un sacré Don Juan infidèle nottoire, ce que Brenda n’a pas pu deviner.

Alors qu’il s’arrête pour proposer son aide à la petite brunette, son intention était claire : la baiser. Comment allait-il procéder ? Les idées se bousculaient dans sa tête, il n’en n’était pas à son premier coup.

Avec Brenda, le courant est vite passé, ce bel homme à la fleur de l’âge a l’habitude de ce genre de situation, une étudiante pour lui, c’est plutôt facile.
D’ailleurs, d’entrée de jeu, il lui a fait bonne impression en se montrant sympa et courtois :  » Où dois-je condruire la princesse parisienne s’il vous plaît ? ». Charmeur et blagueur, il avait tout pour qu’elle ne résiste pas

Une fois l’auto-stoppeuse dans la voiture, le trentenaire a tout de suite cherché à détendre l’atmosphère en jouant une musique afro-pop que les jeunes adorent. Ils ont un peu moins de trois kilomètres de route à faire, ce sera quand même long.
Brenda est certe une fille sympa et sexy, elle peut parfois être une espiègle allumeuse mais, elle a un petit ami, son premier d’ailleurs ! Elle lui a toujours été fidèle et ne s’imaginait pas dans les bras d’un autre, surtout pas pour un coup vite fait avec un homme marié. Le petit jeu de Thierry était donc, en principe, voué à l’échec.
Le laissant venir, Brenda répondait à ses questions qui devenaient de plus en plus intimes. En bon séducteur, Thierry n’oubliait pas de garder sa subitilité pour ne pas irriter la parisienne.
Ce côté courtois mais drageur affaiblissait Brenda qui commençait à rentrer dans le jeu du trentenaire. Petit à petit, son coeur s’ouvrait, elle racontait sa relation amoureuse à Thierry, qui continuait son autopsie pour savoir sur quel pied danser.

Auto-stoppeuse à prendre

À 20 ans, on est forcément fragile et avide d’expérience ! Thierry allait donc utiliser cette faiblesse pour convaincre Brenda.

Thierry : écoute Brenda, t’es encore jeune, je souhaite que tu fasses longue vie avec ton petit ami mais, tu devrais aussi voir ailleurs de temps en temps.
Brenda : tu crois ? Mais je l’aime, je n’ose pas l’imaginer dans les bras d’une autre femme…
Thierry : nous sommes tous passé par là, moi, mon épouse, je lui ai été infidèle quand nous étions plus jeune, c’est la vie qui veut ça. Elle aussi d’ailleurs, a eues d’autres expériences. Aujourd’hui, nous ne regrettons pas. Ça nous a plutôt aidés.
Brenda : Tu crois ?

La conversation s’arrêta là, le piège s’était refermé sur Brenda, il fallit que Thierry donne le coup de grâce. Il posa sa main sur la cuisse de l’étudiante puis, commença à la caresser avant de remonter sa jupe courte, il toucha ensuite le string de Brenda. Son minou était tout mouillé, sous ses lunettes, on pouvait voir ses yeux bleus qui scintillaient. Elle transpirait légèrement, tous les signes montraient qu’elle était excitée.
C’est ainsi que Thierry se garra dans un coin, rabatta le siège de Brenda pour lui monter dessus. Il la baisa pendant plusieurs minutes avant d’éjaculer sur ses cuisses.
Mission accomplie, il lui remit un mouchoir à jeter pour s’essuyer puis, repris la route sans plus mot dire. Brenda était toute rouge, gênée et honteuse.

Nous n’avons pas su tout de suite si Sabrina agissait ainsi par pur opportunisme, pour être certaine d’être choisie à l’issu de son stage ou par vraie passion pour le sexe, mais, vous vous en doutez bien, c’est elle qui, parmi les douze stagiaires, a décroché la timbale. Toujours est-il que, depuis qu’elle a signé son CDI, elle baise toujours autant avec tous les collaborateurs du service. Et je ne suis pas le dernier à en profiter !

Hôtesse de l’air baisée en plein vol

Lydia est une hôtesse de l’air de 29 ans. Elle est blonde, svelte, yeux bleus et une silhouette très féminine. Cette bordelaise est toujours entre deux avions, sa vie sexuelle n’est pas stable car, ils sont rares les hommes qui supporteraient son rythme.

Toi aussi tu veux baiser des hôtesses de l’air bien salopes ?

Travaillant dans une grande compagnie qui desserte dans le monde entier, elle a fait tous les continents. De l’Europe à l’Amérique, en passant par l’Asie, Lydia est toujours dans les airs, quelle vie !
À la veille de noel, elle est de service dans un vol au départ de Paris pour New-York, environ 8 heures dans le ciel, un jour de fête, elle est encore sûre qu’elle va s’emmerder avec tous ses clients ringards.
Affectée en première classe, Lydia et ses collègues font un débrief comme d’habitude, avant de monter dans l’avion. À les regarder causer de loin, on aurait dit des mannequins prêts à faire un défilé de mode. Les stewards sont super beaux et les hôtesses encore plus. L’heure du vol a sonné, chacun regagne son palier et, ayant acquis plus d’expérience du fait de sa longévité au sein de la compagnie, Lydia porte la casquette de chef ce soir.
Quelques minutes après qu’elle se soit mise au poste, les voyageurs ont commencé à apparaître.

Ils montrent leur billet et Lydia leur affecte une place, tel est le protocole exigé par la compagnie. Ce soir, il va y avoir du monde, même en première classe, l’avion fera carton plein car, c’est la fête.
Parmi les passagers, entre un jeune homme beau, grand et basané, qui présente son billet à la charmante hôtesse en lui faisant un compliment qui va tout de suite lui arracher le sourire. C’est un indien de 40 ans qui se débrouille pas mal en français. Il travaille en France mais a toujours vécu aux U.S.A avec sa petite famille qui s’y trouve d’ailleurs acutellement. Lorsque Lydia l’accompagne à sa place, le bel homme en profite pour souffler quelques mots, un véritable Don Juan d’une élégance très rare.

Ce qui est sûr, il vient de gagner l’affection de l’hôtesse qui ne cesse de tourner son regard vers le deuxième pallier gauche, où il est assis.
Une heure plus tard, Lydia s’éclipse pour s’asseoir avec le personnel car, l’avion allait enfin décoller.

L’hôtesse s’envoie en l’air !

Une fois le bolide dans les airs, elle revient, avec sa section, pour jeter un oeil si tout va bien. En la voyant apparaître, notre gentleman est tout de suite passé à l’attaque. Levant la main pour l’interpeller, il lui demande son prénom et lui, n’a pas manqué de se présenter :  » Moi je suis Anish « , avec un accent anglosaxon.
Présentations faites, les deux coquins ont tenue une petite conversation sympa. « Enfin un mec beau qui n’est pas ringard ! « , se dit-elle dans ses pensées.
Lydia continua le service mais, son regard était toujours rivé vers Anish qui lui faisait des clins d’oeil et quelques sourires, toujours aussi charmants.
Il était claire qu’il y avait de l’électricité dans l’air et, le voyage ne pouvait se terminer sans concrétiser cette attirance mutuelle qui s’était déclarée en entrée de jeu entre l’hôtesse de l’air et l’ingénieur indien.
C’est l’heure de l’apéro et, Lydia choisit de finir par Anish. Elle fait le tour, ignorant ironiquement son bel indien avant de diriger son chariot à la place où il est assis.
Lydia : Voilà Anish, du bon Whisky comme tu as demandé.
Anish : Humm, merci, mais j’en profite aussi pour te dire que je te trouve très belle, je ne cesse de te regarder.
Lydia : Tu penses que je ne l’ai pas remarqué ?

Elle s’en alla avec un sourir qui donnait l’air l’impression qu’elle soufflait :  » suis moi ! « .
Anish pris donc son courage et se leva pour suivre discrètement Lydia qui était dans les toilettes. Il esseya de baisser la poignée et constata que la porte était ouverte. Bingo! ! Le veinard entra sans se faire remarquer.
Le box était très petit, deux personnes pouvaient à peine tenir dans ces toilettes où l’indien s’empressa de rouler une pelle à la jolie bordelaise. Elle repondit si hardement qu’il eut une très forte érection.
Il souleva sa jupe puis, baissa la paire de collants et le string de l’hôtesse pour enfiler son pénis dans sa chatte qui était toute mouillée.
Ça lui a juste pris deux minutes pour faire grimper cette coquine au septième ciel. Après avoir éjaculé dans la foufoune, l’indien remit sa queue dans le pantalon avant de lui faire un dernier bisou.
Un voyage qu’elle n’oubliera jamais.