Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !

Les pieds de la japonaise

Avant toute chose – et avant de vous raconter l’aventure qui m’est arrivée tout récemment – je tiens à dire que je n’ai jamais trompé ma femme. Pour dire vrai, je lui ai même tout raconté de cet épisode étrange de ma vie et je dois dire qu’elle a eu bien du mal à me croire. Pour finir, elle m’a dit qu’elle ne voyait pas comment un homme hétéro normalement constitué, surtout un peu fétichiste des pieds comme je le suis moi-même, aurait pu résister.

L’histoire se déroule donc il y a quelques semaines. Il faut vous dire que je suis consultant en entreprise. Au gré des demandes de séminaires, je suis donc appelé à travers toute la France, la Belgique et la Suisse, et je voyage en train : c’est plus reposant et ça limite l’empreinte carbone. Cette fois, je partais pour le sud de la France.

A mon départ, le train était presque vide. J’ai donc pu m’installer tranquillement dans une de ces places où quatre sièges se font face. Je me suis placé dans le sens de la marche, côté fenêtre. J’adore voir notre beau pays défiler sous mes yeux. Las ! A la gare suivante, une nuée de touristes japonais s’est emparée du wagon. N’allez pas voir dans mes propos quoi que ce soit de raciste, mais ils faisaient, tous ensemble, l’effet d’une nuée d’oiseaux.

Se sont installées à mes côtés quatre gamines nipponnes. Quand je dis  » gamines « , elles devaient avoir la vingtaine. Toutes très jolies, du genre qu’on voit dans les films X japonais, vous voyez ? Bref. Finie ma belle tranquillité. On s’échange quelques sourires polis, elles ne semblent pas parler un traître mot de français, d’allemand ou d’anglais. Le voyage va être long, je m’assoupis.


C’est une étrange sensation qui me réveille. Quelque chose semble être posé sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux et j’aperçois les jambes nues de la jolie japonaise placée en face de moi qui s’étendent jusqu’à mon siège. Je ne suis pas repéré, je vais en profiter pour voir ce qu’elle fait exactement. Oui, elle me masse la bite au travers du pantalon.

Je fais mine de me réveiller. Elle retire à toute vitesse sa jambe. Je me redresse et je vois que ses pieds sont nus. Deux petits petons magnifiques, très sensuels. Les trois filles s’échangent des sourires rieurs, puis se mettent à rire ostensiblement. La japonaise devant moi est le centre des attentions. Elle a fait ça aux vues et aux sus de ses compagnes de voyage !

J’arrive à attraper son regard. Je veux lui faire sentir que je sais ce qu’elle a fait pendant mon sommeil. Je crois que le message est passé, elle se met à rougir. Un silence relatif s’installe autour de nous. Les nanas semblent gênées. Je repars dans la contemplation du paysage qui défile.

Cinq minutes passent. Les japonaises ont repris une conversation fiévreuse. De temps à autre, mon regard repart vers les pieds, toujours nu, de ma voisine d’en face. C’est vrai qu’ils sont beaux. On a envie de les caresser. On traverse une ville, je cherche des yeux ses monuments les plus célèbres.

Le pied de la japonaise

Le pied de la japonaise me tire de ma rêverie. Un air de défi dans le regard, elle me fixe de ses yeux noirs. Ses copines assistent à la scène, comme pétrifiées. De ses orteils, elle tente de me branler à travers le tissu du pantalon. Je décide de changer d’attitude : je prends son pied, dans l’idée de le repousser vigoureusement.

Mais je suis surpris par la douceur de sa peau et, au lieu de me rebeller, me voici en train de caresser son superbe peton. Les autres japonaises s’envoient des sourires complices. Je me décide à la laisser faire. Avec une habileté incroyable, elle entreprend de baisser ma braguette en attrapant la tirette avec deux orteils ! Elle y parvient sans difficulté. Son pied est maintenant en contact presque direct avec mon sexe.

Je saisis ma veste pour la placer sur mes genoux car, ne l’oublions pas, nous sommes dans un train bondé. Incroyable ! La fille arrive à sortir ma queue tendue de sa cachette, à glisser son autre pied sous ma veste et commence à me branler magnifiquement. Ma voisine de gauche, elle, se penche de plus en plus vers moi. Tant qu’elle finit par se coller à moi. Je sens sa poitrine menue sur mon épaule.

Et l’autre qui me masturbe avec ses pieds. C’est trop ! Je pose la main sur le sein de ma voisine, qui me caresse maintenant les cheveux. Mes jambes se tendent. Mon souffle est court. La branleuse a accéléré le mouvement. Je jouis en serrant les lèvres pour ne pas hurler de plaisir.

La jeune japonaise retire ses pieds. Ils sont plein de sperme. Elle s’essuie avec une lingette, puis, dans un sourire, m’en tend une autre. Je fais de mon mieux, sous ma veste, pour me laver le sexe. Le train ralentit. Nouvelle gare. L’équipe de touristes japonais est arrivée à destination.

Paysan pervers pour couple exhib

A l’époque, j’étais en couple avec une meuf qui répondait au doux prénom de Natacha ! Ah, Natacha ! Jolie comme un cœur, gentille et douce ! Et surtout, salope comme on ne peut pas l’imaginer !

C’est bien simple, avec elle, il y avait toujours une nouvelle idée ! Un plan cul dont vous n’auriez osé rêver si elle ne vous l’avait pas proposé. Dans la vie quotidienne, elle avait l’air sage, mais quand il s’agissait de sexe, quelle libertine c’était ! Son imagination érotique était sans bornes, et, surtout, elle ne se refusait rien.

Un week-end, elle m’a parlé d’une clairière, pas très loin d’un parking sauvage, où elle avait entendu dire que des couples exhibitionnistes venaient baiser devant des voyeurs. Bien entendu, elle voulait s’y rendre. On programma le plan pour le samedi suivant : la météo s’annonçait bonne.

La météo, oui, mais pas les règles de ma Natacha, qui tombèrent pile poil ce jour-là. Sauf que la coquine avait tout prévu. Elle avait acheté en ligne des tampons spécial sexe, des trucs qui vous permettent de baiser même quand vous êtes indisposée.

Du coup, on a filé vers la fameuse clairière. Sur place, personne. Natacha était déçue, moi plutôt soulagé. Je pouvais la baiser sans la gêne de quelques voyeurs. Et c’est ce que j’ai fait. Elle s’est appuyée sur le capot de la bagnole, je l’ai troussée et pan ! Dans le minou. Au passage, je tiens à vous dire que son gadget anti-ragnagna était très au point. Comme si de rien n’était…

C’était trop beau. J’étais en train de besogner ma copine tout en matant son joli popotin quand un vieux gars tout moisi a débarqué, la bite à la main. Il s’est approché de nous. Il faisait des commentaires paillards pendant que je tronchais Natacha et qu’il branlait sa demi-molle.

Tripoté par le paysan pervers !

J’ai essayé de continuer, comme s’il n’était pas là, mais il était tellement proche que sa présence me gênait vraiment ! Alors, forcément, quand il a commencé à vouloir peloter le joli cul de ma libertine, ça m’a gonflé. J’ai repoussé sa main, en lui disant de rester à sa place.

Natacha s’est retournée et m’a dit : « mais non, chéri, laisse faire monsieur, il a bien droit à un petit plaisir ». Elle a retiré son t-shirt, dévoilant sa poitrine nue, généreuse, magnifique. Elle a tendu un nichon au papy qui s’est mis à lui téter. Le paysan grognait, Natacha était aux anges. L’air de rien, cette salope m’avait fait rebander, avec ses idées cochonnes.

Natacha s’est assise au milieu du sentier et s’est mise à nous sucer tous les deux. Le paysan faisait de plus en plus de commentaires graveleux, mais ça semblait plaire à la coquine. Elle suçait tant et si bien que, non seulement elle m’a rendue une gaule plus qu’honorable, mais le papy aussi s’est mis à bander raide.

On a changé de position. Moi par terre, à la tringler en levrette, elle qui pompait le dard du vieux, debout devant elle. Je voyais tout ce qu’elle lui faisait, comment elle creusait les joues, comment elle faisait coulisser la petite bite entre ses lèvres, comment elle lui suçait les burnes.

Et plus elle était vicieuse, plus je la tringlais comme un forcené. Et plus je la tronchais, plus elle devenait perverse. Le cercle vicieux, c’est le cas de le dire.

Là, le paysan s’est mis à grogner de plus en plus fort. Puis a gueulé comme un dingue « salope ! salope ! petite pute ! ». Il a déchargé à gros jets sur le visage d’ange de Natacha, jusque dans ses cheveux. Elle s’est retournée vers moi, la face pleine de foutre et m’a souri. J’étais estomaqué.

Mais le papy n’en avait pas fini. Il s’est essuyé la pine et a recommencé à se branler. Il s’est placé à côté de moi pour voir en gros plan la pénétration : « elle est bonne ta salope, tu l’encules, des fois ? ». Je me cherchais une contenance, mais le type n’arrêtait pas. A un moment, alors que ma queue ressortait de la chatte dégoulinante de mouille de Natacha, il a carrément pris mon sexe dans sa main, et l’a dirigé vers la rondelle de ma libertine. Elle, elle s’est contentée d’écarter les fesses et je me suis introduit dans l’anus de la belle.

Sans réfléchir, je lui ai déglingué le cul, jusqu’à gicler à mon tour dans son dos, jusqu’à ses cheveux, qui étaient maintenant trempés de sperme.

Je me masturbe devant un inconnu

Par Agnès, 29 ans.

Je venais tout juste de recevoir un nouveau vibromasseur, commandé en ligne, avec lequel je comptais bien m’amuser : plusieurs vitesses, de petits picots sur la verge pour plus de sensations et un second appendice pour jouer avec mon clito pendant la pénétration. Un grand moment en perspective !

J’adore l’instant où je me fais livrer, le plus souvent par un grand black plutôt mignon, que j’imagine très bien membré. Il me tend le paquet – un nouveau par mois, à peu près – avec un grand sourire et me demande de signer sur sa tablette de livraison. S’il savait ce qu’il y a dans le colis…. j’en mouille de joie !

Et, comme très souvent quand je me fais livrer un nouveau sextoy, je le déballe précipitamment et je m’installe devant mon ordi. Et oui, j’aime m’exhiber, et le test d’un nouveau godemichet est, le plus souvent, ponctué par une petite séance de cam to cam avec un inconnu. Je vais sur mon tchat préféré, je cherche un mec qui m’excite et je branche ma webcam pur faire une petite démo de mon nouveau jouet.

L’heureux vainqueur du jour s’appelle François, il a 25 ans, et est étudiant dans ma ville. C’est une grande ville, peu de risques que ça me pose des problèmes par la suite. C’est un beau mec, plutôt du genre minet et il se paluche déjà pour moi. Il a une belle bite, bien droite et j’imagine que c’est lui qui me pénètre quand j’introduis finalement le vibromasseur en moi.

Je suis en nuisette, sans culotte, les cuisses bien écartées en face de mon écran d’ordinateur. Les vibrations de l’engin me procurent des sensations incroyables, d’autant que j’ai une belle vue sur un joli gars, plus jeune que moi, qui se branle en rythme avec moi. Je caresse mes seins, qui dépassent maintenant du haut de la nuisette, ce qui a pour effet de le rendre fou.

Il me dit des mots d’amour, m’encourage à enfoncer plus avant le vibro, et se paluche de plus belle. Il est aussi excité que moi, et moi, ça me fait mouiller. J’augmente la vitesse des vibrations et je sens que je vais bientôt partir. Une, deux, trois, ça monte. Quatre, cinq, six, je fais tout pour me retenir, que l’orgasme soit le plus fort possible. Sept, huit, neuf, c’est parti.

J’espère qu’il n’a pas mis le son de son PC trop fort, parce que je hurle littéralement sous l’effet de la jouissance. Lui, il n’en rate pas une miette. Je ferme les yeux, profitant au maximum de cet orgasme salvateur. Quand j’ouvre à nouveau les paupières, il est toujours là, le sourire aux lèvres et la gaule à la main.

Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de faire, en fait, exactement ce qu’il veut. « Vas-y François, traite-moi comme une salope, s’il te plaît ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà qui me soumet à tous ses délires, à toutes ses envies, et moi j’obéis, trop chaude pour lui refuser quoi que ce soit.

Ma collection de jouets érotiques y passe presque toute entière, jusqu’à ce que je me retrouve, moi qui n’aime pas le sexe anal, avec un énorme godemichet noir planté entre les fesses, face à lui. Cette fois, il jouit, il me dit qu’il crache son foutre dans mon petit trou, et ça me fait partir moi aussi.

Je suis un peu honteuse quand je me retourne. François a effectivement giclé, il en a un peu partout sur lui. Il me dit bonsoir et raccroche la communication. Je me sens un peu gênée, mais, après tout, je ne risque pas grand chose. Un gars que je ne verrai sans doute jamais me prend pour une salope. Ou plutôt, il sait quelle chienne je peux être quand je ne me contrôle plus.

Je pars prendre une douche, puis je remballe mes petites affaires. Une bonne nuit de sommeil par là-dessus, et demain, boulot… Mais attendez, sa tête ne m’est pas totalement inconnue. C’est vrai que beaucoup de gars lui ressemblent plus ou moins. Mais quand même…

Je retourne sur le site, je retrouve sa fiche. Il faut que je vois sa photo, pour en avoir le cœur net. Pas de doute, je le connais, je le croise dans la rue… ou ailleurs. Oh putain ! C’est mon voisin de palier ! Comment ais-je fait pour ne pas le reconnaître ? Quelle conne ! La honte !

Le lendemain, je me reconnecte au site, pour lui parler. Lui dire de se taire, de ne surtout pas raconter ce qu’on a fait ensemble à tout le monde. Il est là, toujours la bite à la main. Il me dit « déshabille-toi, maintenant, tu veux être ma petite salope, tu vas l’être ».

Et moi, je m’exécute. Je sais qu’il n’est qu’à quelques mètres de moi, de l’autre côté du mur. Et j’ai réellement envie de faire tout ce qu’il voudra.

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

L’exhibitionnisme, c’est risqué !

Mon copain et moi sommes exhibitionnistes. Nous pratiquons notre vice -l’exhibitionnisme, donc- dans une forêt, pas très loin de chez nous, où se retrouvent les couples comme nous et les voyeurs, en général des paysans du coin, de 20 ans à 60 ans passés. C’est dans la clairière de cette forêt que tout se joue. Certains couples se livrent à la partouze entre eux, d’autres laissent les voyeurs participer.

Pas nous. Nous sommes juste exhibes, et nous nous contentons de baiser devant ces messieurs, qui, en général, se branlent en nous regardant nous envoyer en l’air. Pour l’occasion, je mets souvent une tenue sexy, genre libertine, achetée sur le net.

Ce jour-là, la clairière était déserte. Pas un couple, pas un voyeur, pour troubler la tranquillité sereine de cette forêt où personne, mis à part les coquins de tout poil, ne passe jamais. Pas grave ! Nous avons trop envie de baiser. Très vite, je me retrouve topless, et mon chéri me suce les tétons, une caresse que j’adore.

Puis, c’est le bas qui tombe. Il s’agenouille dans les feuilles mortes et commence à me lécher le clito. J’adore ça ! Je suis déjà très chaude. Mon mec se redresse : à mon tour de lui faire du bien. Son pantalon et son caleçon tombent sur ses chevilles, il est déjà bien dur. Je prends sa belle queue entre mes lèvres, je creuse les joues, je mouille son gland de ma salive tout en jouant de la langue sur son frein.

De fil en aiguille, nous voici entièrement nus : il me nique en levrette. J’aime sentir sa queue bien au fond de moi. Il a beau me claquer les fesses pour faire un peu de bruit, pas un voyeur à l’horizon. Dommage… mais surtout tant pis pour eux : nous sommes particulièrement en forme aujourd’hui, le spectacle vaut le coup d’œil !

Maintenant, il s’allonge dans les feuilles mortes et je viens m’empaler sur lui. Il caresse mes seins pendant que je tortille du cul et des hanches pour lui procurer un maximum de plaisir, ainsi qu’à moi. Je m’entends couiner un peu. Si un gars passe dans les parages, il va m’entendre, c’est sûr.

Nouveau changement de position : je m’appuie contre un arbre, debout, et il me ramone en levrette. Ah, j’entends du bruit dans le chemin qui conduit jusqu’ici. J’encourage les voyeurs à nous rendre visite : « oui, baise-moi chéri, c’est trop bon ! » que je gueule comme une possédée.

Les pas se rapprochent et, d’un coup, me cœur se soulève en attendant une voix, avec un fort accent, s’adresser à nous : «  madame, monsieur, l’article 222 alinéa 32 du Code Pénal réprime l’exhibition sexuelle. Je me vois dans l’obligation de vous arrêter ». Un court instant, je crois à une blague. Je me retourne : un gendarme nous fait fasse.

Je me dégage de l’étreinte de mon copain et me précipite sur mes fringues. J’arrive à prendre mon haut et à en recouvrir mes seins et ma chatte, tant bien que mal. « Monsieur l’Agent, je vais vous expliquer, ce n’est pas dans nos habitudes, c’est juste que… ». Il ne me laisse pas finir ma phrase : « allons, mademoiselle, je sais bien ce que c’est que la jeunesse, j’ai une fille de votre âge. Vous serez quittes pour une bonne frayeur et une amende ».

Je suis morte de honte. Le pire, c’est que nous n’avons pas un rond pour payer une amende. Et si ça se savait, en plus ? Je lève tomber mon haut au sol, dévoilant à la vue du militaire mes petits seins et ma chatte rasée et encore humide. Je m’approche de lui. Mon mec ne dit rien, n’esquisse pas un geste pour me retenir.

C’est le gendarme qui me coupe dans mon élan. « N’aggravez pas votre cas, mademoiselle, la corruption de fonctionnaire, alliée à l’exhibitionnisme, ça coûte cher ». J’hésite encore un peu. Le flic a le regard perdu. Je m’approche encore un peu, me colle contre lui. Il essaie de bredouiller quelque chose. Peine perdue. J’ai défait son ceinturon, il a la bite à l’air. Il est raide comme la justice. Je commence à le branler, en défaisant, de l’autre main, sa chemise. Je colle mes petits seins pointus à sa peau.

Ça n’est pas suffisant, il semble prêt à se rebeller. Alors je me penche et je prends son gourdin dans ma bouche. Une bite très grosse. Pas très longue, mais épaisse. Mon copain ne dit toujours rien, il reste là, à poil, passif.

Je m’applique à bien sucer le gendarme. S’il gicle, c’est gagné, il repartira la queue entre les jambes, si j’ose dire. Je fais montre de tout mon art de la turlutte. Le vieux grogne son plaisir. Dans moins de trois minutes, il va éjaculer au fond de ma gorge, c’est certain.

Il faudra juste que je change de mec, et m’en trouver un plus courageux que celui-ci qui regarde, béat, sa meuf en train de pomper la bite d’un vieux gendarme.

Le vieux cochon du métro

Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi j’ai eu envie d’aller au bout du jeu, ce jour-là avec ce vieux cochon dans le métro… Je vous explique : je m’appelle Nathalie, j’ai 21 ans et je suis étudiante à Paris, même si je suis originaire d’une petite ville de province que je ne citerai pas. Comme toutes les filles, il m’arrive de me faire bousculer dans le métro, aux heures de pointes.

Quand je dis  » bousculer « , c’est pour ne pas dire plus. En fait, de nombreux mecs profitent de la situation, des corps serrés dans la rame, pour vous peloter un peu, ou pire ! Il faut dire que j’ai une poitrine assez énorme, qui me complexe beaucoup, mais qui a plutôt tendance à attirer les pervers. Comme ce monsieur noir, d’une soixantaine d’années, qui, un matin, s’est retrouvé collé à moi sur la ligne 7.

Au début, j’ai cru que ça n’était pas volontaire. Mais, très vite, je me suis fait une raison : il plaquait sa poitrine contre la mienne à la moindre occasion et louchait sur mes seins, alors que, pourtant, je n’étais vraiment pas en décolleté. J’ai fait comme à mon habitude : je l’ai fixé dans les yeux. En général, ça suffit. Le pervers baisse les yeux et se met à regarder ses chaussettes, tout en s’éloignant de moi.

Mais là, pas du tout ! Le vieux black a même du prendre ça pour une invitation, puisqu’il s’est mis à soutenir mon regard avec un large sourire aux lèvres. Le comble, c’est qu’il y a eu un mouvement de foule juste à ce moment, qui m’a amenée à me coller encore plus à lui. Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à me mettre la main au cul.

Contrairement à d’autres vicieux du métro, il ne me pelotait pas vraiment, il me caressait plutôt les fesses, avec une certaine douceur. Pas la main au panier brutale et vulgaire, non, une espèce de caresse tendre et respectueuse, si je puis dire. J’ai de nouveau regardé mon agresseur : il m’avait l’air sympathique, tout à coup.

Nouveau mouvement de foule. Il relève sa main. Cette fois, il me touche clairement les seins. Et moi, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. En d’autres circonstances, il se serait pris une paire de gifles et on n’en parlait plus ! Mais il avait une façon de faire ça, presque innocente. Messieurs, je vous prie de croire que je ne vous raconte pas cette histoire pour vous encourager à agir de la sorte : les peloteurs du métro devraient être envoyés quelques jours en taule, ce serait mérité !

Pour dire que je ne savais pas ce qui m’arrivait. J’avais envie de le laisser en profiter. Et même, je commençais à mouiller. De toute façon, j’approchais de la station de ma fac, j’allais bientôt descendre alors pourquoi ne pas le laisser se faire ce petit plaisir ?

Sauf qu’à la station Censier-Daubenton, il est descendu également. Et m’a suivi dans l’escalator. J’ai allongé le pas pour me réfugier dans l’université, mais je sentais qu’il était toujours là, derrière moi, à distance. Je suis entrée dans la fac par l’escalier de la bibliothèque universitaire et je suis partie directement pour les toilettes des filles.

Là, je me suis enfermée dans une cabine et j’ai attendu. Il me fallait reprendre mes esprits et mon souffle. Quand on a frappé à la porte, j’ai ouvert sans réfléchir. C’était lui. Il souriait à belles dents. Je l’ai dévisagé, j’aurais presque eu le temps de compter les rides sur son visage. Il a porté sa main à son entrejambe et m’a demandé, avec un fort accent africain :  » bonjour mademoiselle, tu as envie ? « .

Et oui, j’avais envie. Je me suis écartée pour le laisser entrer dans la cabine. Je me suis baissée et j’ai ouvert la braguette du vieux cochon. J’ai eu du mal à en sortir l’engin qui y dormait. Il était énorme. Une gigantesque bite noire, très longue, très épaisse, tendue comme un arc.

Il a caressé mes seins sous le t-shirt, et je l’ai branlé. Ça a duré comme ça de longues minutes, jusqu’à ce qu’il se débarrasse de mon haut et de mon soutif pour téter mes mamelons à pleine bouche. Je branlais son énorme queue et je me masturbais en même temps. Je voyais ses rides, son cou de vieux et ça m’excitait. J’ai eu du mal à contenir un cri lorsque l’orgasme est arrivé. Lui, il a joui de longs jets de foutre blanc qui se sont répandus sur mon jean. Il m’a déposé un baiser sur les lèvres, s’est réajusté et est parti.

Exhibée comme une pute

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J’étais au cœur des fantasmes de mon homme, comme si j’avais pénétré sa tête, j’avais accès à ses rêves cochons les plus enfouis. Il m’imaginait en femme soumise, exhibée comme une pute, offerte qu’un homme offre à qui la veut.

Après un déjeuner rapide dans une brasserie où tous les poivrots me reluquaient, c’est dans un sex-shop qu’Anthony m’a amenée, toujours docile, toujours habillée comme une véritable putain. Devant les jaquettes de films X, il m’a faite me pencher pour que les hommes derrière moi puissent contempler à loisir mes fesses moulées impudiquement dans le textile, et que ceux devant moi puissent voir ma poitrine débordant du petit haut indécent.

Sentant venir le bon coup, les clients du sex-shop se sont approchés, et leurs mains se sont vite mises à courir sur mon corps tout entier. A un moment, l’un d’eux a même sorti son sexe pour se masturber tout en caressant mes seins et en pinçant légèrement mes tétons durcis d’excitation.

Mon homme m’a alors pris la main et l’a posée sur la demi-molle du pervers, que j’ai caressé jusqu’à le faire jouir entre me doigts. Excités comme des dingues, les hommes se sont faits de plus en plus pressants, et de plus en plus grossiers. Anthony a donc choisi de m’exfiltrer de la boutique, et m’a emmenée avec lui jusqu’à la bouche de métro la plus proche.

Là, le petit manège a recommencé : les passagers mâles ont tout de suite remarqué la façon dont j’étais habillée et se sont collés à moi. J’avais toujours l’interdiction de les repousser. Puis, nous sommes arrivés à une station que je connaissais pas ou peu.

Nous sommes sortis du métro. Il y avait là une foule bigarrée et cosmopolite d’africains, d’antillais, d’indiens et d’arabes. Anthony semblait savoir exactement où il me conduisait. Nous sommes entrés dans une petite épicerie, tenue par un vieux monsieur algérien très sympathique et très souriant. L’homme nous a invités à le suivre dans l’arrière-boutique.

Là, mon homme m’a ordonné de me déshabiller entièrement. Le regard jovial du commerçant arabe s’est fait plus lubrique. Je me suis vite retrouvée entièrement nue devant lui et mon homme, exhibée comme un objet. Le vieux a pris un appareil photo qui restait dans un tiroir. Il m’a mitraillée, me demandant toute sorte de poses toutes plus salaces les unes que les autres.

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Puis je me suis rhabillée et nous sommes finalement rentrés chez nous. J’étais en feu. Mon mari m’avait exhibée, traitée comme une salope soumise durant toute la journée et je n’avais plus qu’une idée en tête : je voulais qu’il me baise ou même qu’il m’offre à un type pour le remplacer, je n’en avais que faire. Je voulais du sexe.

Mais il n’avait rien prévu d’autre que de me faire l’amour, dans notre nid douillet, profitant de mon intense état d’excitation. Il a pu me demander absolument toutes les positions, toutes les pratiques que d’ordinaire je lui refusais. J’avais envie d’aller très loin.

Une semaine plus tard, ça a été son tour de se soumettre à mes fantasmes. Et je vous prie de croire qu’il n’a pas été déçu. Moi aussi je sais être perverse quand l’envie me prend.

Nos jeux érotiques, domination ludique…

C’est un jeu que nous avons entre nous, une domination ludique mise en place dans notre couple. Un petit jeu sexuel, qui n’a l’air de rien, mais qui peut parfois nous mener très loin dans nos propres fantasmes, mon mari et moi. Le principe en est simple : un jour, c’est lui qui fait de moi son esclave, l’autre jour, c’est moi qui le domine.

Il y a un mois, j’ai donc été sa chose sexuelle pendant une journée entière, du matin au coucher, ou plus exactement depuis le matin jusqu’à ce que nous nous endormions. Car, après nos aventures coquines, il a mis un point d’honneur à me faire l’amour jusqu’à l’aube.

Tout a commencé très tôt donc, vers 6 heures du matin. Quand je suis sortie de la douche, il m’avait préparé une tenue très provocante, que je devais mettre pour lui : jupe en faux-cuir rose très courte, haut à l’avenant, avec décolleté plongeant, le genre de tenue qui vous fait passer au mieux pour une libertine, au pire pour une pute.

Direction le métro, ainsi accoutrée. Les ordres d’Anthony étaient clairs. Me laisser faire si un mec me collait d’un peu trop près. Et à l’heure de pointe, vêtue (façon de parler !) comme je l’étais, il n’a pas fallu trois stations pour qu’un vieux cochon me mette la main aux fesses. Sauf que, cette fois, je devais le laisser me peloter, voire même l’encourager.

Mon mari à portée de main, j’étais en sécurité. Alors quand un autre type est venu se coller contre ma poitrine largement dénudée, qu’il a posé ses doigts sur le top en faux-cuir, puis carrément dessous, je n’ai rien fait pour tenter de me dégager. De son côté, le vieux avait collé sa braguette contre mes fesses, et utilisait les soubresauts de la rame de métro pour frotter sa verge, que je sentais contre moi, sur mon postérieur.

Je ne sais combien de mecs ont tenté ainsi de profiter de moi et de mon allure de salope de bas-étage jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Station Châtelet, puis une petite marche dans les rues, sous les regards crus des passants. J’avais un peu honte, mais j’étais toute émoustillée de cette situation scabreuse.

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Puis mon mari s’est arrêté, rue Saint-Denis, devant un cinéma porno. Il m’a prise par la main, et m’a tirée avec lui dans la boutique. Il a payé nos entrées, puis nous sommes descendus dans l’antre glauque. A cette heure matinale, il y avait déjà quatre ou cinq mecs qui se masturbaient, plus ou moins ostensiblement, devant un film pornographique sans grand intérêt.

Anthony s’est assis au premier rang, m’a invitée à m’asseoir à côté de lui, et a sorti son membre. Il m’a fait signe de le sucer pendant qu’il regardait le film, et j’ai obtempéré. Pendant que je lui offrais cette fellation, j’ai senti que les hommes approchaient. Mon mari a fait jaillir mes seins de mon top en faux-cuir et les a laissé me regarder le sucer, en repoussant tant bien que mal leurs mains baladeuses.

Il n’était pas encore midi, ma journée de soumission ludique commençait fort…

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