Une panthère noire attaque !

Ses yeux noisette, son sourire parfait, ses lèvres séduisantes, son teint noir laquée sur une peau douce… Une vraie panthère noire… Tout chez cette jeunette de 25 ans était attirant, même sa voix était si sexy. De ma vie, j’avais rarement vu une femme aussi exotique et excitante. Son sex appeal était incroyable et à mesure que je lui prenais des clichés dans des positions subversives, mon pénis n’arrêtait pas de prendre des coups de sang et je faisais de mon mieux pour dissimuler son agitation à travers le bermuda que je portais. J’allais définitivement perdre le contrôle lorsqu’elle se mît en levrette pour que je prenne des images en gros plan de son cul rebondissant mis en valeur par un string magnifique assorti d’un soutif. Puis, elle se changea pour la huitième fois et se vêtit d’une autre lingerie coquine. Je pris encore des clichés pendant une demi-heure environ.

La séance terminé, Roseline, c’est ainsi que s’appelait ma « panthère », vint voir, en lingerie de charme, toutes les photos que j’avais prises et ensemble nous sélectionnions les meilleurs. Pendant que nous accomplissions le tri, elle posa, de manière anodine sa main par-dessus mon épaule gauche, moi étant assis et elle debout. Ce touché me donna un frisson qui me traversa le corps de la tête au pied avant de se focaliser sur mon sexe qui allait définitivement se mettre à tanguer comme une perche.

Mon hôte avait bien remarqué la bosse au niveau de la braguette, je l’entendis sourire. J’avais honte de moi, honte de ne pas pouvoir me contrôler. Mais, il faut dire que c’était bien la première fois que je faisais des photos aussi sexy avec une bombe sexuelle.
En fait, Roseline, consciente de son corps de rêve et de son postérieur irrésistible, s’était monté un business, à la demande d’un blogueur de site de charme, consistant à lui fournir des photos coquines pour animer son site. Elle envisageait aussi de monter un booking pour poser pour des marques de lingeries fines.

Le fait de me faire démasquer par Roseline, fit tomber toute l’excitation qui m’ébranlais. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux. Lorsque nous finîmes le tri, je l’entendis me dire qu’elle était prête pour la suite.

– La suite ? Quelle suite ?
– J’avais aussi besoin de prendre des photos nu, à refiler à un client qui paie gros. Ça m’étonne que tu aies cet air étonné, pourtant je crois te l’avoir dit.
– Visiblement tu as omis de me le dire.
– Allez s’il te plaît Louis, fais pas ton ronchon.
– Ok, c’est bon on le fait.

Évidemment que j’avais envie de la voir à poil, mais en même temps, j’aurais aimé éviter car je sentais bien que je n’allais pas être indifférent à la vue de son corps dans le plus simple appareil.
Elle opta pour une photo de son vagin en gros plan, en premier. Elle prit ensuite son index et se l’enfila dans la vulve, là encore j’en pris une image, puis une autre aussi excitante que la première. Je gaulais si fort que j’en avais mal.

Je baise ma panthère

– Tu ferais mieux d’enlever ton short et te mettre à poil comme moi, tu transpireras moins et je crois que ton pénis aurait besoin de prendre l’air.
Je me mis en effet à poil, et j’avoue que j’en étais soulagé car je n’avais plus à me dissimuler. Nous reprîmes la séance et mon phallus était au garde à vous permanent.
– C’est flattant de voir que je fais autant d’effet à un homme. Approche mon beau…

Je m’avance et elle me chope le pénis pour me tailler une pipe emblématique en gorge profonde. A la suite, je m’en vais m’engouffrer entre ces cuisses pour lui lécher la crémouille à pleine langue et voyant qu’elle en hurle de plaisir, je fourre deux doigts dans son minou tout en continuant de jouer avec son clito. Elle se tortille de plaisir en couinant et bientôt elle allait m’inviter à lui servir mon popol. Chose que je fis avec joie. Je la pénétrais d’abord en douceur, mais ce n’était pas à son goût, elle me demanda d’y mettre de l’intensité, alors je la culbutais sans lui faire de cadeau. A sa réaction, c’était bien ce qu’elle aimait. Elle a aussi aimé se prendre mon éjaculation dans la poire.
Juste après cette baise, cette coquine me réclama un rabais de 30 % sur mes prestations… Quelle malign, ma panthère noire !

Je suis devenue une chienne servile

Je n’ai jamais été portée sur les choses du sexe. Pour tout dire, il y a peu, j’étais même franchement coincée et je crois que, d’une certaine manière, je le suis toujours, à ma façon. Mais depuis que j’ai rencontré Thomas, les choses ont tout de même bien changé.

D’abord la rencontre. Improbable. J’étais tranquillement assise dans le métro, où je lisais un livre sans trop prêter attention à ce qui se passait à côté de moi. Tout à coup, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche.

Je me suis tournée vers l’importun : un jeune homme noir, ou plutôt métis, d’au moins quinze ans mon cadet. Non seulement il me pelotait, mais il ne faisait aucun effort pour dissimuler sa manœuvre. Tout au contraire…

Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main de ma cuisse, il m’a souri. Tout simplement. Puis il a reposé sa main d’autorité sur ma cuisse, un peu plus haut, presque à hauteur de mes parties intimes. Je ne saurais dire pourquoi, mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le voyage, il m’a peloté la cuisse, aux vues et aux sus de tous les autres passagers de la rame.

Tout cela aurait pu en rester là. Mais voilà : à mon retour à la maison, j’ai trouvé dans une de mes poches un mot, avec un numéro de téléphone dessus. Et plutôt que de raconter ma mésaventure à mon mari, j’ai choisi de ne rien lui dire.

Le lendemain, à la première occasion, j’ai rappelé l’inconnu.

« Allô, ici Thomas, j’écoute ». J’ai bredouillé quelque chose d’incompréhensible. Mais il a tout de suite saisi : « ah ! C’est toi la salope qui se fait peloter dans le métro ! ». J’ai raccroché… Puis j’ai rappelé. Thomas m’a fixé un rendez-vous, en fin de journée, près du dernier métro de La Courneuve.

Là non plus, je ne saurais dire pourquoi, mais j’y suis allée. J’ai prétexté une réunion de dernière minute pour m’excuser auprès de mon mari, et je me suis rendue à l’adresse que Thomas m’avait indiquée. Et il m’y attendait de pied ferme.

A peine entrée, il a exigé de moi que je me déshabille entièrement. J’avais très honte de moi, de mon corps de quadragénaire face à ce jeune homme bien bâti et assez séduisant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre. La fessée a commencé.

Il me transforme en vraie chienne…

J’ai hurlé de douleur à chaque claque que ses grandes mains comme des battoirs m’infligeaient. Mais je n’avais encore rien vu. Il a saisi un ustensile (j’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un < hraf="http://sexshop.sexe-extreme-sexe.com/sex-shop/categories/7050/fouets_cravaches.html" target="_blank">paddle, un jouet SM que Thomas collectionne) percé de trou dont il s’est servi pour me faire encore plus mal. Et moi, je suis restée là, les fesses rouges, à encaisser les coups de ce sadique.

Il a porté ensuite ses doigts vers mon sexe. « Tu as la chatte toute mouillée, chienne, qui t’a permis de te faire plaisir comme ça. Tu es ma chose et rien d’autre ». Et il a recommencé à me fesser. Après une demi-heure – autant dire une éternité – de ce traitement, il m’a fait me mettre à genoux devant lui.

Il a sorti son sexe de sa braguette. J’ignorais qu’il existait des pénis aussi énormes : large autant que long, parcouru de centaines de veine qui lui donnaient une allure de monstre. Il a pincé mon mot, de sorte que je sois contrainte d’ouvrir la bouche, et s’est insinué en moi, de plus en plus profond, jusqu’à ce que ma gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement.

Je n’ai pas vomi (heureusement, j’aurais sans doute été un peu plus punie), mais la main droite de Thomas s’est abattue sur ma joue : « pompe, salope, tu es là pour ça ». Il m’a littéralement, pour reprendre ses mots, baisé la gorge. Tout en maltraitant mes seins, cela va de soi. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir, et j’ai aimé ça comme une vraie chienne…

Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Puis je me suis redressée, j’ai essuyé les larmes qui coulaient de mes yeux et je me suis rhabillée. Puis, au moment où je franchissais sa porte, Thomas m’a dit : « maintenant, je sais où te joindre, chienne, tu viendras me servir quand j’en aurai envie ».

Je l’avais appelé sans prendre le temps d’anonymiser mon numéro. Je me sentais prisonnière. Et pour tout dire, plutôt heureuse de l’être. Thomas, mon amant et maître, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité psychologique d’accepter ma propre dépravation.

Il me somme de le rejoindre désormais plusieurs fois par mois et j’accours comme un véritable chienne servile…

Les seins de la blackette

C’était au tout début, il y a une dizaine d’années. Ma copine et moi pratiquions l’échangisme et le libertinage depuis quelques mois seulement. Avec, en tête, l’idée d’être ouverts à toute sorte de rencontres. Nous sortions en club, et nous passions pas mal de temps sur les tchats libertins. Madame branchée par les rebeus, moi par le la belle blackette…

Mais, après avoir déménagé dans une petite ville de province, nous avons vite déchanté. Combien de lapins, d’indécis, de faux couples dont madame n’était jamais disponible pour confirmer sa présence, pour quelques rendez-vous un peu sympas ? Alors, quand ils nous ont contactés, en proposant qu’on se voit le soir même, nous avons tout de suite accepté. On verrait bien.

A vrai dire, nous n’avons même pas pris le temps de bien regarder la photo surexposée qu’ils nous avaient envoyée. Une surprise nous attendait : madame était noire. Nous avions déjà coquiné, à Paris, avec des hommes et des femmes noirs, mais dans un coin si reculé, on ne croise pas souvent des blackettes, encore moins libertines.

Et quel canon cette blackette ! Une jolie femme de visage, certes, mais gaulée comme une déesse africaine, avec un beau cul et surtout des seins en obus à faire bander n’importe quel gars hétéro normalement constitué. Il faut dire que, si certains mecs reluquent les fesses avant tout, moi ce sont les seins qui m’excitent le plus.

Et là, j’étais gâté ! Sylvie – c’est son prénom – était habillée d’un grand pardessus, qu’elle a retiré en entrant dans notre maison. Mazette ! Sous le pardessus, une tenue hyper sexy, hyper décolletée, qui mettait en valeur une poitrine formidable. Le genre guêpière pour femme à forte poitrine.

On leur propose un verre et on discute. Ils sont encore plus débutants que nous. Ça met des plombes à décoller. Et moi, je n’en peux plus de loucher sur les seins de Sylvie. Ma chérie est plutôt bien dotée, à ce niveau là, mais là, on se croirait chez Russ Meyer !

Finalement, c’est ma chérie qui donne le signal, en s’approchant dangereusement de Sylvie. Les deux nanas se frottent l’une à l’autre, commencent à se rouler des pelles, puis se retrouvent lovées l’une contre l’autre, nues, leurs quatre nichons frottant l’un contre l’autre dans une scène d’un érotisme torride.

Michel, le mari, n’en rate pas une miette lui non plus. Et, timides mais décidés, nous nous approchons de nos femmes. Sylvie a tôt fait de sortir ma bite de sa braguette, malgré une érection déjà bien prononcée qui gêne un peu la manœuvre. Et hop ! Elle m’engouffre au fond de sa gorge.

Je regarde du côté de ma chérie et de Michel : elle a fait de même avec sa queue qui est, soit dit en passant, énorme ! J’ai la chance d’être plutôt bien monté, mais là, je dois reconnaître que je suis battu à plate couture ! Et nos deux chéries nous pompent joyeusement pendant que nous pelotons leurs nichons.

Les gros seins de la blackette

S’en suit une séance de baise assez hallucinante. Après un bon cunni, je me retrouve avec Sylvie, déchaînée, qui s’est empalée sur ma queue en me donnant ses énormes loches à téter. Je suis aux anges, d’autant que, contrairement à ma copine, la blackette semble aimer qu’on joue avec ses seins de manière un peu brutale.

J’aspire ses gros nibards, je les pelote, je les caresse et je finis, dans l’excitation, par les pincer. La coquine se mord les lèvres de plaisir et en redemande. Je suis comme un môme avec un nouveau jouet et notre partie de jambes en l’air finit par virer au SM, pour la plus grande joie de la blackette, qui semble adorer qu’on lui martyrise les seins !

Finalement, après presque une nuit entière à baiser et à partouzer, on se retrouve tous les quatre peinards autour d’un dernier verre. Sylvie me chuchote qu’on ne lui avait jamais fait ça, qu’elle a adoré. Elle se fait câline, ce qui ne me pose pas de problèmes : j’aime plutôt ça après le sexe.

Michel et ma chérie ont l’air d’être aussi ravis que nous de leurs ébats. Ils restent plus distants l’un de l’autre, mais monsieur enchaîne : « franchement, je crois que tout le monde s’est bien entendu, on se revoit bientôt ? ». Tout le monde acquiesce.

Depuis, nous nous voyons très régulièrement. Nous sortons tous les quatre, ensemble, en club échangiste ou en sauna libertin, pour draguer d’autres couples. Et je peux vous dire que les deux poitrines de ces dames font toujours leur effet ! Ce qui nous permet de draguer des couples, y compris ceux qui ne veulent pas partouzer à plus de quatre (oui, ça existe).

Les messieurs sont toujours partants et quand les dames voient ma bite, et, plus encore, celle de Michel, elles se demandent parfois si ce quatuor là n’est pas sorti d’un drôle de film porno.

Baisée par un étalon noir ttbm

Je devais organiser, comme c’est le cas tous les deux mois, un casting pour recruter des mannequins amateurs pour le compte de mes clients évoluant dans le milieu de la mode.
Le casting du jour portait sur des hommes. Nous recherchions précisément des hommes ayant un physique hors du commun ; particulièrement des gars musclés faisant en moyenne 1m80 et âgés de moins de 28 ans. Pour ce faire, nous soumettions les candidats à un petit défilé disséqué en trois passages : un en tenue d’hiver, un autre en tenue d’été et un dernier en sous-vêtements. C’est ce dernier passage que je préférais, principalement parce qu’il nous permettait d’apprécier en toute objectivité le critère de sélection le plus important, le physique !
Le profil des candidats était moyennement intéressant, mais aucun de ceux qui étaient déjà passés n’avait suscité le déclic en moi. Près de deux heures s’étaient écoulées au moment du passage du 17ème candidat. C’était un jeune homme âgé de 23 ans, d’origine africaine, faisant 1m87 ; il affichait une telle force et dégageait un charisme qui ne me laissait pas indifférente. Il portait un tee-shirt body qui serrait tellement ses bras musclés qu’on eu l’impression qu’il allait se déchirer. Il me fit intuitivement bonne impression, je n’attendais plus que le dernier passage, celui en sous-vêtements, pour définitivement être conquise.

Je n’allais pas être déçue de voir le corps athlétique de ce mâle dominant. Il avait des pectoraux parfaits, une tablette de huit carrés de chocolats, qui me faisait fondre d’envie. Ses cuisses musclées soutenaient un gros pénis, il n’était évidemment pas à poil, mais on pouvait clairement distinguer la forme de son engin à travers le dessous qu’il portait à l’occasion. Moi, j’aime les gros pénis, quand j’en vois un je perds mes moyens et ma chatte ne tardait pas à me le faire savoir. Je sentais bien que je mouillais, j’étais excitée et, au plus profond de moi, j’avais envie que cet étalon me prenne pour sa jument. Mais il fallait malheureusement que je me contienne pour demeurer professionnelle.
J’attendis patiemment la fin du casting pour le rencontrer et lui annoncer personnellement qu’il était retenu. Je vis son visage s’illuminer par un joli sourire. Profitant de cet instant de joie, je l’invitais à dîner le soir même, histoire d’en savoir un peu plus sur lui et lui expliquer deux ou trois choses importantes qu’il devrait savoir de notre boite. Il l’accepta. Je lui remettais alors ma carte de visite avant de m’en aller en lui indiquant le lieu du restaurant.

JH noir rien que pour moi…

Le soir venu, le jeune homme noir se présentait au lieu de notre rencontre, vêtu d’une tenue très élégante. Durant notre conversation, une question indiscrète me taraudait l’esprit, et je n’allais pas me gêner de la lui poser.
–  » Durant le casting tout à l’heure je n’ai pas pu m’empêcher de constater que tu en as dans le caleçon. Alors dit moi combien mesure ta bite ?  »
– Il me répond fièrement :  » Elle mesure 29 cm sur 7. Tu la veux n’est ce pas ?  »
Bien sûr que je la veux ! Nous partîmes dans un hôtel qui était situé à deux pas du restaurant pour terminer la soirée en beauté. D’entrée de jeu, le gaillard dirigea sa langue vers mon fruit défendu pour m’offrir un cunnilingus. Quand il eut fini de me mettre bien, il me brandissait son énorme phallus noir pour que je le polisse.
Il enfonça sa queue au fond de ma gorge, elle était si grosse que je failli m’étouffer. Lorsqu’il l’a retira je repris mon souffle à plein poumon, qu’aussitôt il recommença la manœuvre. Il alla jusqu’à me la foutre si profondément dans le gosier que je gerbais tout ce que j’avais mangé plutôt. Pareille chose ne m’était jamais arrivée. J’avais honte de moi et croyais que mon étalon serait déçu. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il était le moins du monde dégoûté par la situation. Il me prit violemment par les cheveux, me mit à genoux face à la merde que je venais de gerber, le temps que je réalise ce qu’il voulait faire, ma figure baignait déjà dans mon vomi. Il posa ensuite son pied gauche sur la base de ma nuque et me plaqua brusquement la tête dans cette vomissure, de sorte que je ne puisse pas me dégager, puis, il me pénétra de toute la longueur de sa queue.
Il me baisait si fort que je me confondais en douleur et en plaisir. Ce gaillard noir était infatigable, il enchaînait les positions toutes les deux minutes. L’une d’elle me fit particulièrement de l’effet. Il me souleva avec ces gros bras et se mit à me culbuter, frénétiquement, debout. C’était tellement vigoureux que je criais à gorge déployée.
A la fin de notre ébat, j’avais le sentiment que ce lascar m’avait baisé comme une chienne, je me sentais humiliée mais ce plan baise laissa en moi un souvenir intarissable qui me fait encore beaucoup de bien aujourd’hui.