Dépucelé par une pute

Jusqu’à mes 25 ans, je n’avais pas encore goûté au nirvana, trempé la saucisse dans la sauce, coller la banane, mangé le fruit défendu, exploré la vallée sacrée, autant d’expression pour vous dire que je n’avais pas encore été dépucelé !
Mon vrai problème était la timidité, j’avais peur de parler aux femmes, surtout quand elles étaient très belles. Mes deux meilleurs amis, qui n’éprouvaient pas du tout cette difficulté avec la gente féminine me coachaient à la drague, aux techniques de domination, du stress, etc… Mais, le résultat était toujours le même. Je désespérais vraiment !

Un samedi soir, mes amis et moi allions en discothèque. Comme à leur habitude, ils abordaient des meufs facilement, dansaient avec elles et très souvent, finissaient la soirée ensemble. Moi, je restais cloué sur mon siège à me soûler et à regarder les gens s’amuser. A force de boire ce jour là, j’avais la vessie pleine, une vidange s’imposait. Au moment où je sortais des toilettes, j’ai brusquement été heurté par une meuf. Je soupçonnais qu’elle l’avait fait exprès. Elle était ravissante, portait une mini robe très ajustée à son corps et on pouvait voir ses jambes lisses s’élancer sur une paire de talons aiguille.
Elle s’excusa poliment et nous fîmes brièvement connaissance avant qu’elle ne me propose de danser pour se faire pardonner de sa maladresse. J’étais nul en danse et je flippais grave de me taper la honte devant tout le monde. Elle me rassura en disant :  » t’inquiète pas, danser n’est pas difficile, tu n’as qu’à suivre mon rythme « .
Après cette petite danse agréable, elle me demanda gentiment si je pouvais l’accompagner à sa voiture pour y prendre un paquet de cigarette qu’elle avait laissé. N’y voyant pas d’inconvénient, je le suivis naïvement. De toutes les façons j’étais incapable de refuser quoique ce soit à une femme.
Arrivé à sa voiture, on s’y installa le temps pour elle de fumer une clope. Elle était assise sur le siège du chauffeur et moi sur le siège passager. Ses jambes étaient tellement hautes que sa robe remontait vers son bassin, en y jetant un coup d’œil, je constatais qu’elle ne portait pas de culotte. Je pouvais clairement voir sa chatte rasée, c’était la première fois que j’en voyais une de si près. J’étais excité et en même temps très nerveux. J’avais des sueurs froides, mes mains étaient moites et aussi étonnant que cela puisse paraître j’avais envie de disparaître.
Elle me surprit en train de mater son minou, au lieu de me réprimer, ce à quoi je m’attendais, elle prit ma main gauche et la posa sur sa chatte en me demandant de caresser son clitoris. Je m’exécutais timidement en me servant de mon index. Elle me demanda ensuite de lui foutre trois doigts dans la chatte. Apparemment, je lui faisais du bien à entendre ces gémissements, et moi ça me détendait. Par la suite, elle recula son siège à fond, posa ses pieds sur le tableau de bord et m’invita à me mettre entre ses jambes pour lui lécher le clito. Ma langue sillonna ce petit bouton magique qui ne cessait de lui faire hurler de bonheur. Des contractions et spasmes l’envahirent et ses gémissements se faisaient plus fort, elle avait eu un orgasme.
Maintenant qu’elle avait pris son pied, j’espérais prendre aussi le mien, je sortis alors ma queue toute dure de mon pantalon, et, à ma grande surprise, elle me recala net en me sortant tout un baratin comme quoi je devrais être patient. Puis, elle m’exhortait à retourner à l’intérieur de la boite car nos amis respectifs devraient certainement être à notre recherche.

Dépucelé par une pute !

Je n’étais pas content du tout qu’elle se foute de ma gueule mais, je me sentais néanmoins satisfait d’avoir pu lui donner un orgasme.
Je suis allé retrouver mes amis et elle s’est évanouit dans la foule, avant de refaire surface plus tard dans la soirée. Elle vint me dire qu’elle rentrait et elle aimerait bien qu’on finisse la soirée ensemble. J’ai foncé sans réfléchir après avoir dit au revoir à mes potes.
Nous sommes allés chez moi. Sans perdre de temps, elle déclencha les préliminaires en me tétant le phallus lentement. Puis, elle m’enfila une capote avant de m’ouvrir enfin le chemin du paradis que j’avais tant espérer depuis des années. Sa chatte était toute chaude et tellement douce que j’ai juté trop vite, moins de 10 minutes après le début de la pénétration.
Pour contenter son plaisir je lui fis un cunnilingus. Nous reprîmes un second round plus tard. Cette fois, la partie dura un peu plus longtemps.
Quand vint le moment pour elle de partir, je lui demandais son numéro, elle me le refusa gentiment en me disant que c’était une pute qui avait été payé par mes potes pour me dépuceler !
Je n’en croyais pas mes oreilles, moi le fraîchement dépucelé et dire que j’avais hâte de leur raconter cette aventure.

Une maman très protectrice

Par Ahmed, 30 ans

A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.

Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.

Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.

Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.

C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.

« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.

Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.

Branlé par cette maman aux gros nibards

Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.

Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».

Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.

Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.

C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».

Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.

Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.