Ma femme aime que je sois bisexuel

«  Et si on se faisait un petit plan à trois pour commencer  ?  ». Je n’arrivais pas à croire que ma femme venait de dire ça. Un plan bisex ? Cela faisait déjà quelques mois qu’elle me bassinait avec ses blagues sur l’échangisme, mais là, soit elle était sérieuse, soit elle allait trop loin. Nous étions au beau milieu de la brasserie, j’avais l’impression que tout le monde l’avait entendue.

Ma fourchette est restée suspendue au moins une minute entre mon assiette et ma bouche, mon regard a fait le tour de la salle de restaurant pour vérifier la réaction des autres clients. Rien, heureusement. J’ai ensuite regardé Annie. Elle était sérieuse. J’ai décidé de la prendre aux mots  : «  avec un homme ou une femme, ton plan cul à trois  ?  ». Elle ne s’est pas dégonflée, bien au contraire  : «  écouté, chéri, je sais quel genre de sites tu regardes sur le net, je crois qu’avec un homme bisexuel, ce serait le mieux. Oui un plan bisex avec un homme. ».


Cette fois, j’avais failli m’étouffer avec la bouchée de haricots verts que j’avais dans la bouche. En même temps, je n’avais jamais caché à ma chérie une certaine curiosité pour le sexe entre hommes. Pas de quoi s’alarmer. «  Et tu envisages ça comment, on peut savoir?  ». Elle me regarda dans le blanc des yeux  : «  on va sur un site, on trouve le mec, on l’invite chez nous et voilà  !  » me répondit-elle avec le plus grand calme, en croquant dans son sandwich.

Quand ma femme décide de quelque chose, il ne lui faut jamais longtemps pour mettre ses projets à exécution. Non seulement elle a trouvé un beau mec susceptible de nous plaire à tous les deux, non seulement elle l’a invité un vendredi soir à la maison, mais elle m’a aussi dégoté une tenue spéciale pour notre soirée trioliste  : un petit short ultra-moulant et un haut en résille noir.

Le soir dit, j’ai mis ma tenue provoc, et ma femme des vêtements qu ressemblaient plutôt, à mon humble avis, à des sous-vêtements. Le type est arrivé, c’est ma femme qui est venue lui ouvrir. Il était en tenue de bureau, genre complet, et, homophobie mise à part, j’avais franchement l’air d’un PD du Marais à côté de lui.

Le gars avait l’air très à l’aise, moi pas du tout. Il s’est assis entre nous sur le sofa, nous avons bu un verre. Personnellement, j’avais envie de boire un truc assez fort. Les choses n’allèrent pas plus loin pendant près d’une heure. C’est ma femme qui lança les hostilités  : «  si tout le monde se plaît, on peut peut-être passer dans la chambre  ?  ». A croire qu’elle avait fait ça toute sa vie.

Nous sommes donc allés dans la chambre conjugale et nous nous sommes déshabillés, un peu chacun de notre côté. L’atmosphère était tendue. Le gars était beau, bien gaulé. Il a commencé à s’approcher de ma femme. Je les ai regardés se peloter, se toucher, s’embrasser même. Elle a pris sa queue raide en main. J’avais la trique. Elle m’a fait signe de venir les rejoindre. Pour mon premier trip bisexuel ?!?

Je me suis retrouvé à genoux devant le zob du type, que ma femme a planté dans ma bouche sans autre forme de procès. Ma première pipe. J’ai fait de mon mieux, en faisant coulisser la hampe entre mes lèvres, en jouant de la langue sur son frein. Bref, j’ai fait tout ce que moi, j’aime qu’on me fasse quand on me fait une turlutte. Jusqu’à me surprendre à creuser les joues.

Révélation : j’aime être bisex(uel) !

A vrai dire, j’aimais le sucer, d’autant plus que ma femme me suçait à mon tour. J’adore quand elle me pompe, c’est une reine de la fellation. Nous avons échangé les rôles. Il m’a sucé, pendant que je léchais le con de ma chérie. Incroyable le nombre de possibilités qui existent, rien qu’en sexe oral, quand on est trois  !

Après plus d’une heure de ces jeux de langue, j’ai eu envie de prendre ma femme, de la baiser, comme pour montrer à l’autre qu’elle était à moi. Elle a grimpé sur mon érection, dos à moi et, tout en me chevauchant, elle s’est occupée de la bite de notre troisième larron. Au bout d’un moment, il est venu lui agacer le clito avec sa bouche. Il descendait jusqu’à mes couilles, qu’il suçait divinement bien.

Puis, ce fut à son tour de la niquer, en levrette, et la bite encapotée. Je me suis placé face à la bouche de mon épouse qui, tout en se faisant limer, m’a fait jouir au fond de sa gorge. Lui aussi a joui fortement, puis nous nous sommes occupés tous les deux d’elle, jusqu’à son orgasme.

Pour cette première fois bisexuelle, je ne suis pas allé très loin. Mais ma femme m’a promis d’autres rendez-vous de ce genre avec des inconnus.

Candaulisme hardcore avec ma femme

Ça faisait un moment que je tannais ma femme pour essayer avec elle le candaulisme. Elle a beau être plutôt coquine, elle ne se voyait pas baiser avec un mec devant moi. Des années que nous regardons des films pornographiques ensemble, que nous reluquons les mecs et les filles dans la rue en partageant nos impressions, que nous cherchons des endroits originaux pour faire l’amour (forêt, stade de foot et même une fois dans un sexshop), bref, que nous partageons vraiment nos délires érotiques. Mais elle ne voulait pas franchir le pas du libertinage.


Moi, mon trip, c’était surtout de jouer les cocus, de la regarder baiser avec un autre gars. Mais elle ne voulait pas en entendre parler. Jusqu’à ce jour. C’était mon anniversaire. Un colis était arrivé quelques jours plus tôt par voie postale, j’avais interdiction de l’ouvrir. Je savais bien que c’était mon cadeau.

Petit dîner aux chandelles, elle a revêtu une tenue sexy en diable, je sens que ça va être la fête ce soir. Arrive le dessert, un truc à base de gingembre qui promet vraiment. Estelle me tend mon cadeau. Vu tout le mystère qui a entouré l’arrivée du colis, c’est fiévreusement que j’ouvre mon paquet. Là, je tombe sur une boîte et je ne comprends pas bien.

Il est écrit dessus :  » Male Chastity Device « . Je regarde ma femme, elle me sourit, avec un air interrogateur dans les yeux :  » Maintenant, déshabille-toi entièrement « . J’aurais préféré plus de préliminaires, mais son air décidé m’excite. Je bande déjà. Je me retrouve donc nu comme un ver, la gaule tendue vers Estelle.

Elle ouvre la boite, et en sort un objet étrange, transparent. Je viens de comprendre. C’est une cage de chasteté. Elle l’ajuste tant bien que mal sur ma pine raide. Elle me fait me mettre à genoux devant elle. Elle remonte sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte :  » lèche-moi, maintenant ! « .

Très bien, elle veut jouer à la dominatrice, ça me plaît bien. Je passe ma langue entre ses lèvres du bas, je joue avec son clitoris qui est déjà tout gonflé. Elle me tient la tête pour presque m’étouffer entre ses cuisses. Là, les choses deviennent plus étranges.

Elle prend son portable, cherche dans son répertoire et appelle quelqu’un. Elle dit à son interlocuteur :  » tu peux venir maintenant « . Je cherche à comprendre, à lui poser une question, mais elle pousse mon visage contre son sexe dégoulinant de mouille. Alors je lèche. Puis j’entends la porte de la maison s’ouvrir et se refermer.

Candaulisme complice…

Estelle relâche son étreinte. Pour que je puisse voir qui arrive dans notre salon. Je ne connais pas cet homme. C’est un grand noir, plutôt baraqué, sans doute d’origine antillaise.  » Je te présente Sammy, mon prof de gym. Voilà des mois qu’il me drague, alors, si tu es toujours d’accord pour le candaulisme, Sammy va pouvoir jouer avec moi, là, ce soir. « .

Je fais oui de la tête. Le gaillard, un peu intimidé, se déshabille à son tour. Il dévoile un torse puissant, des tablettes de chocolat d’un noir ébène et une bite, je ne vous dis pas ! Un énorme mandrin déjà gonflé, qui doit faire le double de la taille du mien. Je ne suis pourtant pas si mal monté ! Ma femme aussi a l’air d’être surprise par le gabarit exceptionnel de la bite de son prof de gym.

Il s’approche d’elle. Il a presque sa pine a hauteur de mes yeux. Il la fout à poil devant moi. Elle est superbe, ses tétons tendus vers la poitrine musculeuse du gars. Ils se roulent des pelles, puis elle se met à genoux pour le pomper. Elle m’attire vers elle, pour que je vois bien comme elle le suce.

Je bande toujours, je caresse son dos. Elle repousse ma main. Elle me fait m’allonger sur le sol, toujours contraint par la cage de chasteté, puis elle s’assied mon visage ? Je lèche tant et plus, mais je peux toujours voir au dessus de moi, le visage de ma femme, qui reprend en bouche l’énorme sexe noir qui lui est tendu. Ma langue tourne autour de son clito, s’insinue dans son sexe et je vois ses joues se creuser sur la hampe de l’Antillais.

Il grogne de plaisir. Il va jouir. Ma femme recrache la bite et la branle de la main. Pour peu, l’éjaculation du black a failli me couler sur le visage. Mais c’est au tour de ma femme de jouir. Elle tortille du cul comme une dingue. Son orgasme est violent. Le type se rhabille et part. Ma femme se redresse, me fait me relever :  » bon anniversaire, mon chéri ! « .