Baise à l’hôpital

J’aime le sexe d’une façon maladive, j’ai 27 ans un physique attrayant, 1,68 m pour 60 kilos. Je travaille dans un hôpital à Lyon comme anesthésiste. Richard c’est mon boss, car il est le chef de département de chirurgie, je passe presque mes heures de services avec lui, selon notre planning. Richard est un homme attirant, intelligent et riche en plus célibataire à 40 ans. Un soir où on prenait notre garde, la salle de permanence était assez calme car elle est sous un angle un peu isolée. Autour d’un café nous causions de tout et de rien.

> Rencontre des bonnes salopes <

Arriva le déclic. Je ne compris comment je fis attirée vers lui, un baiser sur ses lèvres ; je me mis à le caresser directement sa bite.
Ma réponse fut des caresses encore plus accentuées sur sa verge cachée sous son pantalon, il se laissait faire et je menais la partie. Je descendis son froc et lui administra une bonne dose de branlette pour mettre en alerte sa bite qui se raidissait au fil du temps que je la suçais. C’était formidable de la ressentir au fond de ma gorge. Sa bite se faisait saliver pour faciliter la pénétration. Je me déshabillais rapidement et là toute nue, je lui demandais de commencer par m’enculer. Sans hésiter, je lui donnais mon derrière en levrette sur la moquette de la salle, il commença par m’enserrer l’anus.

Son sexe fini par trouver son chemin, et il commença à se mettre en action. J’avais comme l’impression qu’un train marchait sur mes entrailles, tellement que Richard devenait de plus en plus électrique. Ma jouissance était à son apogée, de plus en plus mon anus s’ouvrait à cause de l’orgasme que j’atteignais. Il sorti sa bite de mon anus, doucement posa sa langue sur mon clitoris, et commença à la titiller pour augmenter mon excitation.
Après quelques minutes acharnées sur mon clitoris qui se raidissait. Il s’allongea et me demanda de m’assoir sur sa grosse verge bien raide, je l’enserrais dans ma chatte toute mouillée, je montais et descendais sur elle, avec une technique dont j’ai seule le secret, ses mains appuyant mes fesses, se promenant partout, je jouissais à nouveau sous la pression du plaisir qui envahissait mon corps. J’avais l’impression de voler, d’être sur un autre monde. D’un coup, il me renversa, me prit en missionnaire les jambes en l’air, je subissais la pression de son sexe si viril qui cognait mon col d’utérus. J’aime bien cette sensation que cela me fait, il suçait mon cou, pinçait mes tétons, me donnait des claques sur mes joues, je ne pouvais plus, je devenais folle de plaisir. Je gémissais comme une chienne, je jouissais encore et encore. Je ne comprenais pas comment il trouvait assez d’énergie, pour tenir assez longtemps sur moi comme il le faisait, c’était sensationnel.

Orgasme à l’hôpital

Ma chatte en feu et mon anus déjà ouvert ne demandaient qu’une chose qu’il éjacule son sperme entre mes deux trous à son choix. Ma respiration devenait de plus en plus rapide, je criais de bonheur, j’avais envie d’arracher son dos, je le serrais fort, car je ne voulais plus qu’il me quitte. Il immobilisa mes mains, mon excitation devint encore plus forte. Je suis perdu dans cette posture de soumission, il partait et revenait en moi encore plus rapidement, c’était le feu en moi, une chaleur étrange mon cerveau ressentait des crampes, mon corps tremblait de joie, c’était à la limite divin, plus que magique, je jouissais de toutes mes forces. Il retira sa queue de ma chatte et me demanda de la sucer. J’avalais ses couilles, je suçais avec gourmandise sa bite, des allers retours dans ma bouche, il se crampa, je pinçais ses seins, je le suçais davantage jusqu’à ce qu’il put jouir dans ma bouche, un liquide chaud et salé que j’avalais avec plaisir. Il me rhabillait avec joie. A la fin, j’ai eu droit à un « t’es fantastique ma Ketty, j’aurais besoin d’une bonne dose de toi chaque jour comme calmant » lol. Je souris et pris la direction des vestiaires pour prendre une douche. Ce fut une soirée mémorable.