Echangisme au club

Je demande à toutes les meufs qui hésitent encore à se lancer dans l’échangisme d’essayer au moins une fois. C’est une expérience indélébile et intense qui procure un plaisir énorme quand on a la chance de tomber sur des partenaires exceptionnels comme Jacques et Mélyane, un couple du sud de Lyon qu’on a eu le bonheur de rencontrer moi et mon mec, Romain dans un club échangiste dont je préfère taire le nom, bon je vais vous le dire, Le Sun Libertin, un vrai paradis sur terre où on se rend au moins une fois par mois avec mon mec.

> Une partenaire pour une partouze ?<

Moi c’est Julia, une brune sexy de 1m74 qui aime bien vivre diverse expériences. Je suis excitée et confuse au moment de vous conter ma première expérience d’échangisme au Le Sun Libertin. C’était un samedi comme les autres, moi et Romain on avait décidé de faire un tour à notre club préféré pour prendre notre pied comme d’habitude. Mais cette fois, quelque chose disait que tout n’allait pas se passer comme avant, qu’on allait aller un peu plus loin qu’avant. D’habitude, on se contente de faire l’amour partout, devant tout le monde et on profite aussi à fond du sauna, du hammam et du jacuzzi dans ce décor Hindou. Mais cette fois-ci, dès le départ, y’avait bien quelques chose dans l’air, une envie de faire bien plus, de pimenté notre partie de jambes en l’air par quelque chose qui nous attirait depuis un bon moment, le sexe à quatre, mais pas seulement, l’échangisme.

Avec Romain, on a déjà fait l’amour à quatre, mais ce n’était pas vraiment de l’échangisme, chaque couple faisait l’amour sans jamais qu’il ait échangisme ou mélangisme. Mais cette fois-ci, dès notre arrivée, on s’est arrangé a se retrouver au bar avec Mélyane et son mari. Après un cours passage dans le jacuzzi pendant lequel on se caressait déjà, on s’est vite retrouvé sur un canapé dans un coin coquin fermé à l’abri des autres voyeurs pour vite passer aux choses sérieuses. On n’avait même pas eu besoin de se dire deux mots pour se décider à s’échanger de partenaire, c’est comme si tout était synchronisé entre nous. Jacques ne me lâchait plus, on aurait dit qu’il me désirait depuis des siècles. Il me doigtait, me broutait la chatte et me suçait les seins au même moment. Il semblait presser, je pouvais même entendre sa respiration tellement qu’il voulait tout faire au même moment. Mais mes yeux étaient braqués sur Romain qui, lui, défonçait déjà Mélyane à quatre pattes, une bonne baise qui me rendit jalouse une fraction de secondes.

Echangisme ? J’adore !

Mais dès que la bite bien dure de Jacques était au fond de ma chatte, ma courte jalousie laissait vite place au plaisir. Ce mec avait un coup de rein incroyable. Il me baisait comme une chienne dans plusieurs positions et le fait que Romain n’arrêtait pas de tourner la tête pour voir ce qui se passait de notre coté m’excitait un peu. Le comble, c’est qu’il avait déjà joui depuis plus 2minutes. Il était devenu donc un voyeur, assis, à voir comment son pote d’un jour me faire hurler de plaisir. Je reconnais que j’en rajoutais un peu pour le provoquer, mais à 99 %, mon plaisir était intense et vrai. Le décor, le déroulement des choses, tout était la pour un plaisir très intense, et je peux vous dire que j’ai adoré. J’en ris encore qu’on je revois Romain ouvrir ses grands yeux quand Jacques a fini par jouir sur mes seins et que j’ai pris son sexe suitant de sperme dans ma bouche, chose que je ne fais jamais avec Romain ! C’était à la fois drôle et beau lol.

Beurette et libertine

En général, quand moi, jeune beurette, j’annonce à des amis ou à des collègues que je suis libertine, tout le monde tombe des nues. Déjà, je pense que ça en étonne plus d’un et plus d’une. D’autre part, les gens ne s’attendent pas à ce qu’une femme « avoue » aimer le sexe, et le sexe en groupe en particulier. Surtout que personne n’imagine réellement ce qui se passe vraiment dans le monde échangiste, à part les libertins eux-mêmes.

Par ailleurs, je dois bien dire que, étant beurette, le fait que ça vienne de moi bouscule pas mal de clichés actuels. Il y a un siècle, tout le monde m’aurait imaginée tortillant du cul en faisant une danse du ventre. Aujourd’hui, on s’imagine qu’une fille arabe et d’origine musulmane, c’est forcément super sage.

Mon mec, Momo, est beur lui aussi. Et comme il a un certain esprit provoc’, il lui arrive de se laisser un peu pousser la barbe. Ça fait parler les cons, qu’il dit. Je ne vous explique pas notre touche quand on part en club libertin, lui avec sa barbe, moi avec une jupe ras la touffe.

Justement, l’histoire que je voulais vous raconter se passe justement en club, lors d’une soirée couples, un samedi soir. On est tranquille au bar, en train de siroter un cocktail et de reluquer les autres couples pour voir avec qui on a envie de partouzer, quand débarque une nana, la quarantaine provocante, flanquée d’un type quelconque.

La vache, mais je la connais cette salope ! Elle bosse dans le bureau à côté du mien ! Une connasse de première : raciste, homophobe, coincée du derche au dernier degré. Et la voilà qui débarque dans une boite à partouzes connue pour être fréquentée par des antillais, des africains, des rebeus ! Je suis morte de rire ! Y en a qui manque pas de culot !

Je raconte tout à Momo, qui me pose une main sur l’épaule. Il me connaît, je suis capable d’aller lui mettre sa misère, à cette pute ! Elle passe devant moi. Elle ne m’a pas reconnue. Pour ces gens-là, une arabe en vaut bien une autre. Le couple part s’asseoir sur un canapé, après avoir fait la bise à un autre duo d’échangistes, blancs de blancs aussi.

Qu’on me comprenne bien : moi, je baise avec tout le monde, pas de racisme chez moi. Mais venir dans une telle boite échangiste pour se taper ses alter-ego, je trouve ça pitoyable. Enfin, bref. J’ai repéré un couple asiatique un peu timide qui me branche bien.

Non, mais j’hallucine ! Le mec de Chantal – appelons la comme ça pour simplifier – n’arrête pas de me reluquer. Moi, je fais mon allumeuse et je fonce sur la piste de danse pour m’exhiber un peu devant lui. Pas de bol pour la connasse, les deux gaulois qui discutaient avec eux se sont fait alpaguer par une belle blackette et son mec et partent avec eux vers les alcôves. Chantal fait la moue : ça doit la débecter.

Moi, j’en rajoute une couche et j’invite carrément le mec de ma collègue à venir danser avec moi, sous l’œil effaré de Momo. Il est subjugué par mon petit haut transparent qui laisse voir mes seins mieux que si j’étais topless. En dix minutes, je le convaincs de me suivre vers les coins-câlins, avec mon mec,… et sa meuf !

Quelle partie de baise ça a été ! Je lui ai fait la totale au gars : branlette, pipe, fond de gorge, branlette espagnole, il a eu droit à tout, une vraie beurette salope ! Et quand il s’est retrouvé sur moi en train de me limer, il avait l’air de ne pas en revenir. Il était au paradis, le gars !

De temps en temps, je jetais un coup d’œil vers Momo et Chantal. C’est qu’elle n’avait pas l’air d’être si dégoûtée que ça, la garce ! Elle s’était empalée sur la bite de mon mec, qui lui palpait ses grosses mamelles comme un petit fou.

Et ma Chantal qui gueulait de plaisir. Elle avait l’air de prendre encore plus son pied que son homme qui, pourtant, me disait des tas de mots doux dans le creux de l’oreille. Lui, il baisait sa première beurette. Elle, elle se faisait limer par la bite d’un arabe !

Pompé par une beurette libertine

Quand il fut bien à point, je me suis mise à pomper la queue de son gaillard, qui a joui à grands flots dans ma bouche. Il est tombé, limite évanouissement. Puis il s’est repris et a voulu me faire un câlin. Pendant que Momo tronchait sa grosse comme un barbare, il m’a dit qu’il n’avait jamais couché avec une fille « comme moi », que ça avait toujours été son fantasme, que j’étais merveilleuse et tout le baratin.

Au total, Chantal a du jouir trois fois entre la langue de Momo et ses coups de queue magiques. Ça valait bien la peine de dire autant de mal des arabes.

Première fois avec des échangistes

Je n’aurais jamais cru que cela pouvait se passer comme ça, dans les clubs échangistes. Et pourtant ce n’était pas faute de m’être renseignée auparavant, depuis le temps que mon mari et moi parlions du fait de nous lancer – enfin ! à plus de 50 ans – dans le libertinage. Je pensais qu’on s’isolait dans une alcôve avec un autre couple et qu’on partouzait à quatre. Je me suis aperçue que ce n’était pas toujours ainsi que les choses se passaient.

Quoi qu’il en soit, nous étions enfin décidés. J’avais commandé une tenue libertine qui mettait en valeur mon opulente poitrine et nous sommes donc allés, pour la première fois, dans un club échangiste. Première surprise : il y avait plein de jeunes, de 20 ans, de 30 ans. Seconde surprise : les alcôves étaient vides, tout ce beau monde se pelotait sur la piste de danse. Le paradis des échangistes…

Troisième et dernière surprise, mais non la moindre : malgré mon âge avancé, le décolleté de ma tenue coquine attirait l’œil de pas mal de jeunes gens. Jusqu’à ce qu’un charmant couple nous aborde. Ils ne devaient pas avoir trente ans. Lui, un petit minet, assez grand, très beau, me souriait tout en passant son regard de mon visage à mes seins. Elle, une petite bombe blonde, de jolis petits seins à croquer, qui se montrait très tactile avec mon mari.

Malgré l’écart d’âge, c’était eux qui savaient. Eux qui dirigeaient les événements. Ils nous ont guidés jusqu’aux coins-câlins du club. Mais, à mon grand étonnement, ils ne nous ont pas conduits jusqu’à une pièce fermée, mais sur un immense lit à baldaquins où, manifestement, ils avaient leurs habitudes.

Tout a commencé de façon soft. Il a joué avec mes seins et avec ceux de sa petite amie, mon mari l’imitant maladroitement. Puis elle a sorti la bite de la braguette de mon homme, et s’est mise à se masturber de la main droite et à le branler de la main gauche. J’ai fait de même.

Un attroupement de quelques jeunes couples s’est fait autour du grand lit. Du regard, ou d’un simple geste de la main, la jeune blonde libertine attirait vers elle les couples qui trouvaient grâce à ses yeux. Très vite, nous nous sommes retrouvés à six couples – douze personnes ! – serrés sur ce lit qui, décidément, n’était pas si grand que ça !

Au début embarrassée, je me suis laissée aller au plaisir de toutes ses mains et toutes ses bouches qui me frôlaient, me touchaient, me caressaient à des endroits de mon corps que, jusqu’ici, je n’avais confiés qu’à mon mari. Quant à lui, il était en train de se faire sucer par une jeune maghrébine de 35 ans environ, qui le prenait en fond de gorge, et il pelotait en même temps les fesses d’une grande brune de 30 ans maximum, qui en léchait une autre.

Orgie d’échangistes !!

Moi, j’avais des sexes d’hommes et des seins de femmes à ma disposition. Un jeune gars très mignon avait planté sa tête entre mes cuisses et me suçotait le petit bouton. J’en suçais un autre, puis un autre, je ne savais plus où donner de la tête. Pendant plus d’une heure, il n’y eut aucune pénétration.

Mais j’avais joui déjà trois fois ! J’étais épuisée… J’ai fait signe à mon mari de quitter le lit. Nous sommes allés boire un verre. Ensuite, nous sommes retournés vers le grand lit, où le premier couple était encore affairé à jouir et à faire jouir. Mais les participants n’étaient plus les mêmes. Certains couples mélangistes – c’est ainsi qu’on appelle cet autre passe temps des échangistes, je l’apprendrai par la suite – avaient quitté la bataille, d’autres étaient venus en renfort.

Nous hésitions à revenir dans la mêlée, pas certains d’y être encore conviés. La petite blonde ne nous laissa pas longtemps en plan, nous faisant comprendre que nous étions toujours les bienvenus. Tout le monde caressait, embrassait, suçait tout le monde, les hommes et les femmes, bien entendu, les filles entre elles aussi.

Toute la nuit, nous avons alterné entre cette gigantesque partouze et le bar, où nous devions reprendre des forces de temps à autre. Le jeune couple, quant à lui, n’a pas arrêté de toute la nuit. C’est aux aurores que la patronne du club échangiste nous a fait comprendre qu’il était temps pour elle de fermer. Le jeune libertin a alors éjaculé sur mes seins offerts, la petite blonde a fait jouir mon mari dans sa bouche et a tout avalé.

Il m’arrive de penser parfois que tout cela n’était qu’un rêve, mais nous retournons presque tous les samedis dans ce club, et les choses sont toujours aussi coquines.

Trio en club échangiste – 1ère partie

Je suis allé pour la première fois dans un club échangiste quelques jours après l’anniversaire de mes vingt ans. Ce soit-là, c’était soirée « pluralité » comme ils disent et les hommes seuls y étaient acceptés. Bien sûr, le tarif de 90 euros aurait eu habituellement de quoi m’étrangler, mais les chèques que ma famille m’avait faits pour ce grand passage à l’âge adulte me permettait de m’offrir ce petit extra.

Il faut dire qu’à l’époque, bien que plutôt mignon, je n’avais connu qu’une fille, la nana avec qui j’étais sorti depuis le lycée, et qui m’avait plaqué six mois auparavant. Très timide, je n’osais pas abordé mes camarades de classe féminines et, sans être puceau, je me sentais très en retard quant à ma sexualité.

L’idée d’aller dans un lieu où tout le monde était libéré par rapport au sexe m’excitait terriblement. Après avoir franchi, angoissé, le pas de la porte et le vestiaire du club, je me suis assis dans un coin, observant ce qui allait se passer.

Une multitude de couples fit son entrée ce soir là, de tous les âges, de toutes les conditions. Certains cherchaient d’autres couples, d’autres partaient à l’étage suivis d’une ribambelle de mecs seuls, d’autres encore semblaient indécis.

Ce sont eux qui m’ont abordé. Heureusement, car jamais je n’aurais eu le courage d’en faire autant. Elle, Olivia, devait avoir 35 ans, c’était une jolie brune aux yeux noirs, très gracieuse, fine, malgré de jolies formes rondes. Lui, Alain, semblait avoir atteint la quarantaine. Tempes grisonnantes, port de tête altier, physique de déménageur qui aurait fait de longues études.

C’est elle qui m’a adressé la parole :
– tu as l’air tout timide, c’est la première fois que tu viens ici ?
– oui, c’est la première fois
– que dirais-tu qu’on s’isole un peu tous les trois pour discuter un peu plus ?

Evidemment, j’ai suivi le couple à l’étage. Là, ça partouzait sévère. Une vieille libertine se faisait culbuter par un trentenaire tout en suçant la bite raide de son mari. Mais le couple m’a emmené plus loin, jusqu’à une alcôve minuscule, où trônait une espèce de petit lit. Nous nous sommes assis, Olivia placée entre nous deux.

Expérience trioliste en club échangiste…

Pour la première fois, Alain a pris la parole :
– ce que nous recherchons, c’est un mec doux pour nous amuser, ensemble, à trois. Tu vois ce que je veux dire ?
En fait, je ne voyais pas bien mais je hochais la tête. Alain caressait les cuisses nues de sa femme tout en me parlant. J’étais comme invité à faire de même, alors j’ai posé ma main sur la peau douce de la jeune femme.

Là, tout s’est précipité. Le couple a échangé un long baiser, puis Olivia a tourné la tête vers moi et m’a roulé une pelle sensuelle et excitante. Ma main est remontée de sa cuisse à sa poitrine et le pan de tissu qui cachait jusqu’alors ses seins est tombé, me dévoilant une jolie paire de pigeons blancs, très fermes et très doux.

Très vite, j’ai senti une main se poser au niveau de mon sexe. Quand j’ai baissé la tête pour voir, je me suis aperçu que c’était la main d’Alain.