Auto-stoppeuse et allumeuse

Brenda, l’auto-stoppeuse, est une étudiante de 20 ans. Elle a décidé de faire l’auto-stop pour se rendre à l’université car, elle en avait marre de prendre le métro. Pour mettre toutes les chances de son côté, elle s’est habillée de façon très attirante, aucun automobiliste ne pouvait lui résister.
C’est l’automne, les tenues légères sont de mise. Elle a donc arboré une minijupe noire, une chemise prêt du corps qui dessinait sa poitrine de taille 95B, et une petite veste pour courroner le tout. Brunette en lunettes, elle était si ravissante qu’à peine sur le trottoire, ça lui a pris tout juste quelques secondes pour trouver son humble chevalier.
C’est le genre de créature qui ne passe pas inaperçue. À la fois fragile et rebelle, elle dégage un charme et un manque de sérénité qui trahissent son jeune âge. Avec ses 1m63, ses formes légèrement pulpeuses, elle paraît plutôt accessible. Normal que ces chauffards se précipitent pour lui proposer de l’aide !

Toi aussi tu veux baiser une belle petite chienne ?

Parmi tous ces gentlemen, la parisienne a choisi un mec de 36 ans, conduisant une superbe citadine de couleur rouge. Il faut dire qu’un homme séduisant aux commandes d’une jolie bagnole, qui a une bague au doigt, ça fait plutôt crédible.
Thierry est marié, bien sûr, mais c’est un sacré Don Juan infidèle nottoire, ce que Brenda n’a pas pu deviner.

Alors qu’il s’arrête pour proposer son aide à la petite brunette, son intention était claire : la baiser. Comment allait-il procéder ? Les idées se bousculaient dans sa tête, il n’en n’était pas à son premier coup.

Avec Brenda, le courant est vite passé, ce bel homme à la fleur de l’âge a l’habitude de ce genre de situation, une étudiante pour lui, c’est plutôt facile.
D’ailleurs, d’entrée de jeu, il lui a fait bonne impression en se montrant sympa et courtois :  » Où dois-je condruire la princesse parisienne s’il vous plaît ? ». Charmeur et blagueur, il avait tout pour qu’elle ne résiste pas

Une fois l’auto-stoppeuse dans la voiture, le trentenaire a tout de suite cherché à détendre l’atmosphère en jouant une musique afro-pop que les jeunes adorent. Ils ont un peu moins de trois kilomètres de route à faire, ce sera quand même long.
Brenda est certe une fille sympa et sexy, elle peut parfois être une espiègle allumeuse mais, elle a un petit ami, son premier d’ailleurs ! Elle lui a toujours été fidèle et ne s’imaginait pas dans les bras d’un autre, surtout pas pour un coup vite fait avec un homme marié. Le petit jeu de Thierry était donc, en principe, voué à l’échec.
Le laissant venir, Brenda répondait à ses questions qui devenaient de plus en plus intimes. En bon séducteur, Thierry n’oubliait pas de garder sa subitilité pour ne pas irriter la parisienne.
Ce côté courtois mais drageur affaiblissait Brenda qui commençait à rentrer dans le jeu du trentenaire. Petit à petit, son coeur s’ouvrait, elle racontait sa relation amoureuse à Thierry, qui continuait son autopsie pour savoir sur quel pied danser.

Auto-stoppeuse à prendre

À 20 ans, on est forcément fragile et avide d’expérience ! Thierry allait donc utiliser cette faiblesse pour convaincre Brenda.

Thierry : écoute Brenda, t’es encore jeune, je souhaite que tu fasses longue vie avec ton petit ami mais, tu devrais aussi voir ailleurs de temps en temps.
Brenda : tu crois ? Mais je l’aime, je n’ose pas l’imaginer dans les bras d’une autre femme…
Thierry : nous sommes tous passé par là, moi, mon épouse, je lui ai été infidèle quand nous étions plus jeune, c’est la vie qui veut ça. Elle aussi d’ailleurs, a eues d’autres expériences. Aujourd’hui, nous ne regrettons pas. Ça nous a plutôt aidés.
Brenda : Tu crois ?

La conversation s’arrêta là, le piège s’était refermé sur Brenda, il fallit que Thierry donne le coup de grâce. Il posa sa main sur la cuisse de l’étudiante puis, commença à la caresser avant de remonter sa jupe courte, il toucha ensuite le string de Brenda. Son minou était tout mouillé, sous ses lunettes, on pouvait voir ses yeux bleus qui scintillaient. Elle transpirait légèrement, tous les signes montraient qu’elle était excitée.
C’est ainsi que Thierry se garra dans un coin, rabatta le siège de Brenda pour lui monter dessus. Il la baisa pendant plusieurs minutes avant d’éjaculer sur ses cuisses.
Mission accomplie, il lui remit un mouchoir à jeter pour s’essuyer puis, repris la route sans plus mot dire. Brenda était toute rouge, gênée et honteuse.

Nous n’avons pas su tout de suite si Sabrina agissait ainsi par pur opportunisme, pour être certaine d’être choisie à l’issu de son stage ou par vraie passion pour le sexe, mais, vous vous en doutez bien, c’est elle qui, parmi les douze stagiaires, a décroché la timbale. Toujours est-il que, depuis qu’elle a signé son CDI, elle baise toujours autant avec tous les collaborateurs du service. Et je ne suis pas le dernier à en profiter !