Des inconnus se branlent sur moi…

Mon mari est vraiment un sale petit pervers. Thomas et moi sommes mariés depuis bientôt 15 ans. Notre vie sexuelle était devenue lassante, mais mon homme a commencé à m’initier à l’exhibition. J’aimais de plus en plus montrer mes seins et ma chatte poilue dans des lieux publics devant des inconnus pendant que mon chéri se branlait la tige dans le pantalon.

> Une vraie nana pour plans exhibs <

Nous rentrions ensuite à la maison pour baiser toute la nuit comme deux animaux en chaleur. Ce petit jeu me plaisait bien, mais Thomas voulait que j’en fasse encore plus. Un soir, après le travail, il me demande d’enfiler une tenue de petite salope pour sortir boire un verre. Je m’exécute aussitôt et nous prenons la route en voiture. Je me rends bien compte que nous ne nous dirigeons pas vers le centre-ville. Nous prenons l’autoroute pendant plusieurs kilomètres. Je lui demande ce qu’il se passe, et en guise de réponse, il fourre sa main entre mes cuisses et commence à me baiser avec ses gros doigts d’ouvrier. Le stress disparaît lorsque je sens la main de mon homme me fouiller la vulve de cette façon, comme si je n’étais que son objet.

Je mouillais assez fort lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour camion. Il gare la voiture dans un coin du parking, et avant même que le moteur ne soit coupé, quatre ou cinq bonhommes surgissent de derrière les buissons. Je prends un peu peur, mais Thomas me rassure en me doigtant avec encore plus de fermeté. Ma fente mature dégouline et je tâche le siège passager.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais ces inconnus ont tous la queue en main. Ils sont venus là pour se branler sur moi, et je crois que je vais recevoir une sacrée dose de sperme. Mon mari ouvre les fenêtres en grand et m’ordonne de lui pomper le dard. Je me jette sur sa saucisse et commence à le piper comme je sais si bien le faire.

Des inconnus se branlent sur moi !

J’essaie de gober son machin jusqu’au fond mais j’ai des hauts le coeur. Les inconnus pervers sont là, tout autour, et je peux les entendre se branler avec frénésie, comme des bêtes. Je ne sais pas ce qu’ils me feraient si mon mari n’était pas présent… Cette idée que tous ces chauffeurs en manque me violent et abusent de mes trous me donne une soudaine envie de monter sur la queue de mon homme. Je m’assois donc sur lui et m’enfile sur sa tige jusqu’aux fondations. J’adore toujours autant les premiers allers-retours, lorsque ma vulve est encore légèrement serrée. Mais ça ne dure pas très longtemps, car Thomas est un vrai bourrin, et il me détruit rapidement la chatte avec ses puissants coups de bite. Je suis là, sur ce parking glauque. Il fait nuit noire, et je suis en train de me faire bombarder la foufoune par mon homme sur la banquette arrière alors que des inconnus totalement dingues et flippants se branlent la nouille sur moi. Je devrais avoir peur, mais je suis tellement salope que je me sens comme un poisson dans l’eau. Plusieurs mecs se mettent à me jouir dessus, surtout sur les fesses, et mon mari ne tarde pas lui aussi à me remplir le sexe de sa semence crémeuse. Je me lance et décide de finir les trois derniers à la bouche, comme une vulgaire pute de quartier. Une fois satisfait, tout ce petit monde disparaît dans la pénombre. Je ne sais pas ce que mon homme me réserve pour la prochaine sortie, mais ça risque de mal tourner…

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