La prof est une cochonne

Par Christophe, 23 ans – Il n’y a pas que des inconvénients à être le seul mec de sa promo. Moi qui suis étudiant infirmier, je peux en témoigner. Je l’avoue, je suis plutôt beau gosse, mais quand même ! Si je n’étais pas le seul mec de la classe de TP, je ne serais pas aussi courtisé par ces demoiselles. Maintenant, le problème, c’est que même les profs s’y mettent !

Je voulais vous raconter une aventure qui m’est arrivé il y a quelques jours, et dont je ne sais pas quoi penser. C’était en TP d’anatomie. Le prof est une vieille infirmière reconvertie dans l’enseignement. Elle doit bien avoir 50 ou 55 ans. Une grande blonde très « charpentée » avec des hanches larges et des seins… je ne vous dis pas. Deux énormes obus soutenus par un soutif qui doit sortir des ateliers d’ingénieurs de la NASA !

Quoi qu’il en soit, c’était cours d’anatomie sexuelle, ce qui nous fait toujours marrer. Nous avons tous plus de vingt ans, on sait comment ça marche, merci ! La prof a voulu nous montrer les principaux signes de différenciation sexuelle. Elle a pris Nadia, comme exemple féminin, et moi, évidemment, seul spécimen masculin. Il faut dire que Nadia est un parfait cas d’école avec son corps très, mais alors très féminin.

Bref, la prof commence à nous peloter dans tous les sens pour décrire ce qui distingue un homme d’une femme, devant une classe pliée en deux de la gêne qui nous gagne l’un et l’autre. Elle termine sa démonstration ainsi : « bien évidemment, nous prônons ici le respect de l’intimité du patient, au maximum de ce qui est possible. Je vous déconseille donc de faire comme je viens de faire avec ces deux-là ». La salle se bidonne, nous beaucoup moins.

La leçon se poursuit. Puis se termine. Aïe ! La prof me demande de rester pour mettre certaines choses au point. Les filles sortent de la salle et je me retrouve en tête à tête avec la vieille blonde. Elle s’inquiète de me voir harcelé par ces demoiselles, surtout que je suis un jeune homme attirant et blablabla, ça risque de nuire à mes études, blablabla… Je rêve ou la prof me drague ?

Surtout que, dit-elle, à mon âge, on a certains besoins, ce qui est compréhensible et que, ajoute-t-elle encore, elle a bien senti mon érection pendant son cours. Quoi ? Mais elle rêve la vieille ! Je n’ai pas bandé, ou alors éventuellement pour le corps de rêve de Nadia, qu’est-ce qu’elle croit ? Et la voici qui se porte volontaire pour me soulager de mes pulsions ? Joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, encore !

Je ne sais ni quoi dire ni quoi faire. Surtout que, maintenant, elle ouvre ma braguette et en sort ma queue. Mais c’est vrai que j’ai la trique ! La voilà maintenant qui me branle, là, derrière la paillasse, en ne quittant pas ma bite du regard. Maintenant, elle se fout à genoux et me prend en bouche. La vieille prof creuse des joues sur ma tige et moi, je suis là, à la regarder faire.

Pompé par la prof !

Elle jette un coup d’œil vers la porte d’entrée. Les couloirs sont vides. Elle retire son haut et son soutien-gorge à armatures. Ses seins sont incroyablement lourds. Elle prend ma bite trempée de sa salive et se la colle entre les mamelles. Elle commence à me faire une branlette espagnole. Moi, je n’ai plus du tout envie qu’elle s’arrête. C’est trop bon !

Et vas-y que je te branle entre mes loches, et vas-y que je donne un coup de langue à ton gland dès qu’il ressort des deux obus ! La prof d’anatomie est en transe. Un voile pervers a embué son regard. Dingue ! Voilà qu’elle se masturbe tout en reprenant ma teub en bouche. Il faut dire qu’elle sait sucer une bite ! Je suis au fond de sa gorge. Je vais gicler c’est sûr.

J’essaie de la prévenir que la sauce va bientôt monter mais elle s’en fout carrément. Elle se masturbe de plus belle et pompe comme une tarée ma bite raide. Putain, cette fois, je gicle. Trois grosses éjaculations directement dans sa glotte.

Elle se redresse et tout en se rhabillant, elle me dit, un air maternel dans le regard : « alors ? Ça va mieux maintenant ? Tu vas pouvoir te concentrer de nouveau sur les cours, désormais ? ». Je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles. Elle a tout avalé, la perverse !

Je me rhabille à mon tour et, sans piper mot, je prends congé de la prof d’anatomie. C’est que je vais être en retard au prochain cours avec ces conneries !

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